Il n'est pas fréquent qu'un homme d'Etat remercie l'un de ses maîtres. Certains universitaires ont plutôt eu le sentiment de se faire mal traiter ces dernières années... Le nouveau président du Sénat, lors de son discours d'élection, a eu une attitude rare, celle de dire merci. Jean-Pierre BEL, président du Sénat, a eu un mot de remerciement pour les professeurs en général, les instituteurs, et puis il a eu un mot pour notre éminent collègue J.-A. MAZERES.
Ce dernier a récemment reçu, courant 2009, en hommage de ses collègues universitaires, des mélanges assez remarquables (photo ci-contre, publié aux éditions LexisNexis). Ces remerciements ne sont pas tombés, vous le voyez, dans l'oreille d'un sourd. Si dans les assemblées constitutionnelles on commence à parler des professeurs de droit, ce n'est plus un changement politique, une alternance, mais un véritable changement de régime politique !
Bref, l'occasion nous est donnée de faire de la publicité pour un ouvrage remarquable qui balaye plusieurs champs du droit et de la science juridique.
Voyez la présentation de l'ouvrage sur le site de LGDJ :
Présentation des Mélanges J-A MAZERES
Présentation par l'éditeur
Parmi les carrières académiques exemplaires, celles qui trouvent le juste équilibre entre enseignement et recherche, entre enracinement local et reconnaissance nationale, voire mondiale, entre exigence scientifique et loyauté confraternelle, celle du professeur Jean-Arnaud Mazéres pourrait être présentée comme relevant d'une forme de modèle de la vocation d'enseignant-chercheur, si lori ne craignait d'offenser sa modestie. Durant les longues ruais aussi trop brèves années ou Jean-Arnaud Mazères enseigna, il forma des générations de juristes et, préciserait-il, des jeunes qui étaient beaucoup plus que des juristes puisque, disciple de Maurice Hauriou il était persuadé, comme le doyen de Toulouse, que le droit ne vaut pas qu'on lui consacre plus d'une heure de sa vie si on le réduit à une technique. Ceci conduisit Jean-Arnaud Mazères à enseigner autant la philosophie, la sociologie ou l'anthropologie que le droit. Par ce recueil, ses collègues et ses anciens étudiants ont souhaité lui rendre hommage.
Ont contribué à cet ouvrage :
Bubpa Akkaraphimarn, Stéphane Baumont, Marie-Hélène Bernard-Douchez, Xavier Bioy, Marie-Bernadette Bruguiere, André Cabanis, Jacques Caillosse, Hélène Cayla, Olivier Cayla, Robert Charvin, Jacques Chevallier, Patrice Chrétien, Delphine Costa, Abdoulaye Coulibaly, Jean-Marie Crouzatier, Francine Demichel, Mathieu Doat, Laurent Dubois de Carratier, Delphine Espagno, Jean-Marc Février, Abbé Jean-Louis Gazzaniga, Maryvonne Hecquard-Théron, Nathalie Jacquinot, Jiangyuan Jiang, François Julien-Laferrière, Jean-François Lachaume, Valérie Larrosa, Christian Lavialle, Florian Linditch, Michel Louis Martin, Fabrice Melleray, Eric Millard, Jacques Moreau, Stéphane Mouton, Sophie Papaefthymiou, Bernard Plagnet, Francis Querol, Gérard Quiot, Lucien Rapp, Serge Regourd, Fabrice Renaud, Henry Roussillon, Robert Savy, Philippe Ségur, Lucien Sfez, Jean-Pierre Théron, Sophie Théron, Patrick Tort, Jean-Claude Venezia, Jacques Viguier, Céline Wiener, Moussa Zaki.
Ce dernier a récemment reçu, courant 2009, en hommage de ses collègues universitaires, des mélanges assez remarquables (photo ci-contre, publié aux éditions LexisNexis). Ces remerciements ne sont pas tombés, vous le voyez, dans l'oreille d'un sourd. Si dans les assemblées constitutionnelles on commence à parler des professeurs de droit, ce n'est plus un changement politique, une alternance, mais un véritable changement de régime politique !
Bref, l'occasion nous est donnée de faire de la publicité pour un ouvrage remarquable qui balaye plusieurs champs du droit et de la science juridique.
Voyez la présentation de l'ouvrage sur le site de LGDJ :
Présentation des Mélanges J-A MAZERES
Présentation par l'éditeur
Parmi les carrières académiques exemplaires, celles qui trouvent le juste équilibre entre enseignement et recherche, entre enracinement local et reconnaissance nationale, voire mondiale, entre exigence scientifique et loyauté confraternelle, celle du professeur Jean-Arnaud Mazéres pourrait être présentée comme relevant d'une forme de modèle de la vocation d'enseignant-chercheur, si lori ne craignait d'offenser sa modestie. Durant les longues ruais aussi trop brèves années ou Jean-Arnaud Mazères enseigna, il forma des générations de juristes et, préciserait-il, des jeunes qui étaient beaucoup plus que des juristes puisque, disciple de Maurice Hauriou il était persuadé, comme le doyen de Toulouse, que le droit ne vaut pas qu'on lui consacre plus d'une heure de sa vie si on le réduit à une technique. Ceci conduisit Jean-Arnaud Mazères à enseigner autant la philosophie, la sociologie ou l'anthropologie que le droit. Par ce recueil, ses collègues et ses anciens étudiants ont souhaité lui rendre hommage.
Ont contribué à cet ouvrage :
Bubpa Akkaraphimarn, Stéphane Baumont, Marie-Hélène Bernard-Douchez, Xavier Bioy, Marie-Bernadette Bruguiere, André Cabanis, Jacques Caillosse, Hélène Cayla, Olivier Cayla, Robert Charvin, Jacques Chevallier, Patrice Chrétien, Delphine Costa, Abdoulaye Coulibaly, Jean-Marie Crouzatier, Francine Demichel, Mathieu Doat, Laurent Dubois de Carratier, Delphine Espagno, Jean-Marc Février, Abbé Jean-Louis Gazzaniga, Maryvonne Hecquard-Théron, Nathalie Jacquinot, Jiangyuan Jiang, François Julien-Laferrière, Jean-François Lachaume, Valérie Larrosa, Christian Lavialle, Florian Linditch, Michel Louis Martin, Fabrice Melleray, Eric Millard, Jacques Moreau, Stéphane Mouton, Sophie Papaefthymiou, Bernard Plagnet, Francis Querol, Gérard Quiot, Lucien Rapp, Serge Regourd, Fabrice Renaud, Henry Roussillon, Robert Savy, Philippe Ségur, Lucien Sfez, Jean-Pierre Théron, Sophie Théron, Patrick Tort, Jean-Claude Venezia, Jacques Viguier, Céline Wiener, Moussa Zaki.