On ne sait la nature de l'information. L'information est-elle "people" ? Elle répondrait à la question posée depuis des semaines : que va faire l'ancien président sur le plan professionnel ? L'information est-elle politique ? L'implication dans la "juridiction suprême" du président SARKOZY signifierait qu'il n'entend pas se prononcer sur les événements politiques pendant plusieurs années.
L'information n'est en revanche guère juridique, sauf à considérer qu'elle pose à nouveau la question de la composition de cette "juridiction suprême" composée d'une majorité de "personnel politique" et non juridique.
Voyez en cliquant ici le Nouvel Obs
On note du reste que même les personnes nommées pour leur qualité de juristes n'ont pas toujours participé à des débats juridiques qui leur aient donné un nom. On s'étonne de voir que certains "juristes" n'aient jamais pris la plume pour écrire un peu de droit. C'est en effet essentiellement de cette façon que l'on participe au débat juridique qui, se voulant scientifique, suppose que chacun pose sa pensée de façon transparente. Or, le moins que l'on puisse dire, est que le fait d'être un juriste qui participe publiquement et de façon raisonnée au débat juridique, ne pèse pas ou plus pour être nommé au Conseil constitutionnel.
Voyez ici l'anecdote d'un futur membre qui confond l'indépendance constitutionnelle des professeurs d'université avec leur prétendue inamovibilité, sans que la Commission des lois ne dise rien
L'information n'est en revanche guère juridique, sauf à considérer qu'elle pose à nouveau la question de la composition de cette "juridiction suprême" composée d'une majorité de "personnel politique" et non juridique.
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On note du reste que même les personnes nommées pour leur qualité de juristes n'ont pas toujours participé à des débats juridiques qui leur aient donné un nom. On s'étonne de voir que certains "juristes" n'aient jamais pris la plume pour écrire un peu de droit. C'est en effet essentiellement de cette façon que l'on participe au débat juridique qui, se voulant scientifique, suppose que chacun pose sa pensée de façon transparente. Or, le moins que l'on puisse dire, est que le fait d'être un juriste qui participe publiquement et de façon raisonnée au débat juridique, ne pèse pas ou plus pour être nommé au Conseil constitutionnel.
Voyez ici l'anecdote d'un futur membre qui confond l'indépendance constitutionnelle des professeurs d'université avec leur prétendue inamovibilité, sans que la Commission des lois ne dise rien