La constitution du gouvernement révèle trois professeurs d'Université de la "société civile", expression au succès étonnant depuis de nombreuses années. Voilà une belle nouvelle pour la France. Elle a peut-être un sens particulier quant à l'estime portée aux enseignants-chercheurs et notamment à l'Université.
Aux termes de l'article 8, "Le Président de la République nomme le Premier ministre. Il met fin à ses fonctions sur la présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement." Et puis, pour l'information du jour, l'article poursuit : "Sur la proposition du Premier ministre, il nomme les autres membres du Gouvernement et met fin à leurs fonctions."
Le Premier ministre Edouard Philippe a donc composé le gouvernement, mais la pratique, on le sait, est que le président de la République s'implique dans cette opération. Cela a toujours été, mais cela prend une force plus nette avec le quinquennat et donc une dimension spéciale car l'échec du gouvernement devient ainsi celui du président.
Pour ce gouvernement, on relève les compétences notables et notoires de ces collègues qui ont tous, outre leur parcours de professeur (thèse, habilitation à diriger les recherche ou agrégation du supérieur, travaux scientifiques), des expériences autres.
Par ordre protocolaire on note ainsi trois professeurs d'Université.
Au ministère des solidarités et de la Santé, est nommée Agnès BUZIN, professeur de médecine, hématologue, elle est également en dernier lieu, après diverses fonctions, présidente de la Haute autorité de la santé.
Au ministère de l'Education nationale, est nommé Jean-Michel BLANQUER, professeur de droit, et en dernier lieu directeur général de l'ESSEC ; on note que ces dernières fonctions égare les journalistes qui ne savent pas lire le CV de l'intéressé.
A l'Enseignement supérieur, à la recherche et à l'innovation est nommée, Frédérique VIDAL professeur de sciences de la vie, président de l'Université de Nice.
On se félicite de ces choix et on félicite ces trois ministres.
Aux termes de l'article 8, "Le Président de la République nomme le Premier ministre. Il met fin à ses fonctions sur la présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement." Et puis, pour l'information du jour, l'article poursuit : "Sur la proposition du Premier ministre, il nomme les autres membres du Gouvernement et met fin à leurs fonctions."
Le Premier ministre Edouard Philippe a donc composé le gouvernement, mais la pratique, on le sait, est que le président de la République s'implique dans cette opération. Cela a toujours été, mais cela prend une force plus nette avec le quinquennat et donc une dimension spéciale car l'échec du gouvernement devient ainsi celui du président.
Pour ce gouvernement, on relève les compétences notables et notoires de ces collègues qui ont tous, outre leur parcours de professeur (thèse, habilitation à diriger les recherche ou agrégation du supérieur, travaux scientifiques), des expériences autres.
Par ordre protocolaire on note ainsi trois professeurs d'Université.
Au ministère des solidarités et de la Santé, est nommée Agnès BUZIN, professeur de médecine, hématologue, elle est également en dernier lieu, après diverses fonctions, présidente de la Haute autorité de la santé.
Au ministère de l'Education nationale, est nommé Jean-Michel BLANQUER, professeur de droit, et en dernier lieu directeur général de l'ESSEC ; on note que ces dernières fonctions égare les journalistes qui ne savent pas lire le CV de l'intéressé.
A l'Enseignement supérieur, à la recherche et à l'innovation est nommée, Frédérique VIDAL professeur de sciences de la vie, président de l'Université de Nice.
On se félicite de ces choix et on félicite ces trois ministres.