B. TAPIE achète au Groupe Hersant divers quotidiens dont La Provence, Nice Matin.... Voilà une nouvelle qui n'est pas juridique mais qui permet de rappeler que l'arbitrage TAPIE n'a pas été annulé comme de nombreux commentateurs l'avaient pronostiqué. La presse s'est alors déchaînée sans quasiment rien comprendre au dossier qui était essentiellement juridique, même s'il avait une dimension politique...
Pour les étudiants qui s'intéressent au droit des affaires, c'est l'occasion de savoir ce qu'est un arbitrage mais aussi ce qu'est une faillite de banque et une structure de défaisance (société qui reprend les actifs d'une banque et qui les vend, et qui reprend aussi les procès que la banque en faillite doit assumer) ; pour cela il faut une loi, retrouvez cela sur le blog créé à l'époque si vous en avez le courage :
Mon blog sur l'affaire
Jamais ou presque un journaliste ne m'a demandé des explications sur cette affaire, alors qu'elle était tout de même complexe. Curieuse attitude pour un métier qui repose sur l'investigation. J'ai en revanche lu la presse, y compris parfois des "livres" sur le sujet, tous d'une médiocrité. C'est que certains font du droit avec un pile d'a priori et condamnent ceux qui sont sous les feux de l'actualité avant même d'avoir seulement compris le problème de droit.
Reprenez ce blog, qui dit franchement qu'il y avait sans doute des interrogations légitimes, mais souvent à une lieue de ce qui se disait... Chemin faisant, ils rencontreront un arrêt d'assemblée plénière (juste pour Bernard TAPIE !) qui pose le principe qu'un client n'a pas droit au crédit, faut-il poser des principes juridiques dans des affaires compliquées alors même que personne ne doute dudit principe... Mystères de la Cour de cassation que même Bernard TAPIE n'a jamais fait de remarque.
Le passé et le passé. Et l'avenir l'avenir ?
Voyez aussi sur le présent blog :
Le dernier développement
Une avant-dernière vague
Pour les étudiants qui s'intéressent au droit des affaires, c'est l'occasion de savoir ce qu'est un arbitrage mais aussi ce qu'est une faillite de banque et une structure de défaisance (société qui reprend les actifs d'une banque et qui les vend, et qui reprend aussi les procès que la banque en faillite doit assumer) ; pour cela il faut une loi, retrouvez cela sur le blog créé à l'époque si vous en avez le courage :
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Jamais ou presque un journaliste ne m'a demandé des explications sur cette affaire, alors qu'elle était tout de même complexe. Curieuse attitude pour un métier qui repose sur l'investigation. J'ai en revanche lu la presse, y compris parfois des "livres" sur le sujet, tous d'une médiocrité. C'est que certains font du droit avec un pile d'a priori et condamnent ceux qui sont sous les feux de l'actualité avant même d'avoir seulement compris le problème de droit.
Reprenez ce blog, qui dit franchement qu'il y avait sans doute des interrogations légitimes, mais souvent à une lieue de ce qui se disait... Chemin faisant, ils rencontreront un arrêt d'assemblée plénière (juste pour Bernard TAPIE !) qui pose le principe qu'un client n'a pas droit au crédit, faut-il poser des principes juridiques dans des affaires compliquées alors même que personne ne doute dudit principe... Mystères de la Cour de cassation que même Bernard TAPIE n'a jamais fait de remarque.
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