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"Vos droits votre argent 2012" (éditions F. LEFEBVRE) : un ouvrage grand public qui en apprend beaucoup ! Un indispensable... même pour les professionnels et les étudiants.
Les rubriques annoncées sont assez classiques mais elles osent aller sur des terrains assez complexes ou, pour certains, plus rares (citons-les sans du tout être complet : Héritage, Immobilier, Epargne, Assurance-vie, Vie privée, Auto-entrepreneur, Impôts, Famille, Retraite et Internet). Pour les domaines qui nous concernent davantage, on doit souligner le grand intérêt que nous avons dû porter à la présentation et la précision de l'ouvrage.
Pour moins de 40 euros, on trouve dans cet ouvrage ce qu'on trouverait dans plus de 10 ouvrages à plus de 10 euros. Ce livre est donc un véritable investissement ! On y trouve en une sorte de condensé de toute l'expertise des dizaines de rédacteurs des Editions Francis LEFEBVRE, équipes de professionnels de l'édition juridique qui sont sans doute, à l'occasion, appuyées par les avocats et universitaires de cette grande et belle Maison. On le comprend, il y a dans cet ouvrage la légitimité de la science juridique.
Sans besoin de livres pour trouver une solution de droit (... c'est un métier), et souvent mieux vaut ne pas en consulter (on trouve la solution avec Legifrance en lisant 5 lois et 25 arrêts...), j'admets que cet ouvrage grand public est précieux.
Un universitaire ne devrait écrire qu'un ouvrage grand public est plus qu'intéressant, mais mes lecteurs me savent incorrigible : au-delà du statut la mission de porter ce qui mérite d'être dit ! Evidemment, l'ouvrage n'est pas destiné à donner des solutions à des cas difficiles, lesquels ne sont pas les plus courants... Mais il purgera d'emblée de nombreuses difficultés déjà "pointues".
Pour parler clair, cette petite bible permet de se faire une idée - tout de suite - de ce qu'est tel mécanisme juridique, de son fonctionnement, de son intérêt (il y a de nombreux calculs et exemples chiffrés) et de son efficacité. Tout cela est fait dans un bon français qui est réaliste, actuel, sans tomber dans le charabia médiatique où aucun mot ne veut rien dire et où les points les plus élémentaires sont méconnus par des journalistes qui prétendent vous expliquer les choses.
Pour moi qui dirige une spécialité de Master Droit de l'entreprise et, plus spécialement un Master Droit des affaires et de la banque (après d'autres), et après avoir un expérience significative de rédaction d'actes juridiques, je pense devoir conseiller cette publication. Notamment pour tous les étudiants qui ont besoin de concrétiser leurs savoirs juridiques (et de l'étendre...).
En revanche, l'ouvrage ne vise pas les textes de loi ou les références jurisprudentielles : il demeure un ouvrage grand public.
On notera ainsi un intéressant chapitre sur la société patrimoniale, judicieuse appellation pour désigner les "SCI", la société de gestion de portefeuille... ou toute autre !
Sur la méthode, l'ouvrage mélange souvent trois choses que les ouvrages académiques ont parfois du mal à unir, notamment parce qu'il veulent suivre une "matière" :
- il sait mélanger deux matières entre elles,
- il sait marier le duo règles-principes à l'exemple (éventuellement chiffré) et, enfin,
- il unit des thèmes qui se tiennent bien les uns aux autres.
L'ouvrage n'est pas déceptif : il vide le sujet du couple droits/argent respectant ainsi son intitulé. Ce dernier point signifie que les étudiants, ou les jeunes professionnels, trouveront un intérêt à passer de l'épargne à l'assurance-vie, de l'épargne aux impôts, de ces matières relatives à l'investissement à l'internet... Pratique et de vulgarisation, l'ouvrage a une réelle unité. Nombre de juristes qui vont avoir à traiter le "droit de l'argent" pourront s'y fier, sachant qu'il est mis à jour chaque année.
Pour moins de 40 euros, on trouve dans cet ouvrage ce qu'on trouverait dans plus de 10 ouvrages à plus de 10 euros. Ce livre est donc un véritable investissement ! On y trouve en une sorte de condensé de toute l'expertise des dizaines de rédacteurs des Editions Francis LEFEBVRE, équipes de professionnels de l'édition juridique qui sont sans doute, à l'occasion, appuyées par les avocats et universitaires de cette grande et belle Maison. On le comprend, il y a dans cet ouvrage la légitimité de la science juridique.
Sans besoin de livres pour trouver une solution de droit (... c'est un métier), et souvent mieux vaut ne pas en consulter (on trouve la solution avec Legifrance en lisant 5 lois et 25 arrêts...), j'admets que cet ouvrage grand public est précieux.
Un universitaire ne devrait écrire qu'un ouvrage grand public est plus qu'intéressant, mais mes lecteurs me savent incorrigible : au-delà du statut la mission de porter ce qui mérite d'être dit ! Evidemment, l'ouvrage n'est pas destiné à donner des solutions à des cas difficiles, lesquels ne sont pas les plus courants... Mais il purgera d'emblée de nombreuses difficultés déjà "pointues".
Pour parler clair, cette petite bible permet de se faire une idée - tout de suite - de ce qu'est tel mécanisme juridique, de son fonctionnement, de son intérêt (il y a de nombreux calculs et exemples chiffrés) et de son efficacité. Tout cela est fait dans un bon français qui est réaliste, actuel, sans tomber dans le charabia médiatique où aucun mot ne veut rien dire et où les points les plus élémentaires sont méconnus par des journalistes qui prétendent vous expliquer les choses.
Pour moi qui dirige une spécialité de Master Droit de l'entreprise et, plus spécialement un Master Droit des affaires et de la banque (après d'autres), et après avoir un expérience significative de rédaction d'actes juridiques, je pense devoir conseiller cette publication. Notamment pour tous les étudiants qui ont besoin de concrétiser leurs savoirs juridiques (et de l'étendre...).
En revanche, l'ouvrage ne vise pas les textes de loi ou les références jurisprudentielles : il demeure un ouvrage grand public.
On notera ainsi un intéressant chapitre sur la société patrimoniale, judicieuse appellation pour désigner les "SCI", la société de gestion de portefeuille... ou toute autre !
Sur la méthode, l'ouvrage mélange souvent trois choses que les ouvrages académiques ont parfois du mal à unir, notamment parce qu'il veulent suivre une "matière" :
- il sait mélanger deux matières entre elles,
- il sait marier le duo règles-principes à l'exemple (éventuellement chiffré) et, enfin,
- il unit des thèmes qui se tiennent bien les uns aux autres.
L'ouvrage n'est pas déceptif : il vide le sujet du couple droits/argent respectant ainsi son intitulé. Ce dernier point signifie que les étudiants, ou les jeunes professionnels, trouveront un intérêt à passer de l'épargne à l'assurance-vie, de l'épargne aux impôts, de ces matières relatives à l'investissement à l'internet... Pratique et de vulgarisation, l'ouvrage a une réelle unité. Nombre de juristes qui vont avoir à traiter le "droit de l'argent" pourront s'y fier, sachant qu'il est mis à jour chaque année.
Cette année 2012 sera riche de précisions fiscales et sociales ; la crise financière impose divers coups de rabots sur les avantages d'hier. Pour ceux qui ont à surveiller particulièrement leur situation, ils trouveront dans l'ouvrage un bulletin pour s'abonner aux 6 numéros d'un bulletin intitulé comme l'ouvrage : "L'actualité Vos droits votre argent". Ce bulletin permet de suivre l'actualité et de disposer ainsi d'un ouvrage à jour.
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La pratique constitutionnelle inspire voire impose l'adoption de multiples alinéas dans la Constitution de 1958
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