Un axe ou centre juridique de recherches francophones en droit économique (au sens large, incluant outre les purs aspects de droit des affaires, des aspects internationaux, pénaux, publics et sociaux) aurait un grand succès.
Je réfléchis à la chose après avoir été interpellé par divers étudiants qui cherchent des directeurs de recherche et de bonnes conditions de recherche(s).
Sont dans ce cas les jeunes Français (et quelques européens) mais aussi les jeunes Africains et Arabes, et d'autres encore depuis le Viet Nam jusqu'à Haïti.
Pour l'heure, je glisse quelques photos des soutenances organisées avec mes collègues R. RAFFRAY, M. TCHENDJOU et J.-L. NAVARRO.
La première s'est déroulée avec M. Hugues KEUFACK en fin novembre 2013.
La deuxième et la troisième avec M. Awadeou PETCHEZI et M. R. NGOMO OBIANG.
Je réfléchis à la chose après avoir été interpellé par divers étudiants qui cherchent des directeurs de recherche et de bonnes conditions de recherche(s).
Sont dans ce cas les jeunes Français (et quelques européens) mais aussi les jeunes Africains et Arabes, et d'autres encore depuis le Viet Nam jusqu'à Haïti.
Pour l'heure, je glisse quelques photos des soutenances organisées avec mes collègues R. RAFFRAY, M. TCHENDJOU et J.-L. NAVARRO.
La première s'est déroulée avec M. Hugues KEUFACK en fin novembre 2013.
La deuxième et la troisième avec M. Awadeou PETCHEZI et M. R. NGOMO OBIANG.
Le premier a travaillé sur le sujet du secret bancaire et l'a traité sous des aspects juridiques mais également assez largement sociaux (sociologie, science politique, économie...).
M. PETCHEZI a lui écrit une thèse sur les transferts de fonds et paiements dans le contexte nécessairement international.
M. NGOMO OBIANG a travaillé quant à lui sur la sécurité financière en Afrique, soit sur la question de la solidité du système bancaire, des banques.
Tous ont des parcours variés, prouvant que que pour ma part j'écoute tout le monde.
J'ai admis en thèse le premier depuis l'Afrique, où il avait fait son 3e cycle.
J'ai accepté le second qui avait suivi un master de droit des affaires en France.
Le troisième est issu du master de droit des affaires et de la banque que je dirige, et je connaissais assez bien le candidat.
Ces diplômés attendent que leurs pays respectifs leur tendent les bras, à savoir le Cameroun, le Togo et le Gabon. L'Afrique doit savoir saisir ses talents.
M. PETCHEZI a lui écrit une thèse sur les transferts de fonds et paiements dans le contexte nécessairement international.
M. NGOMO OBIANG a travaillé quant à lui sur la sécurité financière en Afrique, soit sur la question de la solidité du système bancaire, des banques.
Tous ont des parcours variés, prouvant que que pour ma part j'écoute tout le monde.
J'ai admis en thèse le premier depuis l'Afrique, où il avait fait son 3e cycle.
J'ai accepté le second qui avait suivi un master de droit des affaires en France.
Le troisième est issu du master de droit des affaires et de la banque que je dirige, et je connaissais assez bien le candidat.
Ces diplômés attendent que leurs pays respectifs leur tendent les bras, à savoir le Cameroun, le Togo et le Gabon. L'Afrique doit savoir saisir ses talents.