Un des "classiques" de l'introduction au droit est mis à jour pour cette rentrée. Cette ouvrage allie culture et science juridique. Il sera un allié précieux pour les étudiants qui souhaitent véritablement suivre un cursus juridique (et à terme "faire du droit" à titre professionnel, ce qui n'a rien à voir avec le surfaçage journalistique permanent qui, généralement, fait du droit une bouillie quand il est (encore) "un jardin à la française").
Sa grande qualité est d'offrir un style simple, rigoureux mais non rigide - la phrase dure du juriste finissant parfois par désarmer. Nicolas Balat reprend le "travail de sédimentation" de Philippe Malinvaud et c'est une alliance - et une succession - fort intéressante.
L'ouvrage demeure synthétique si on sait piocher dans tel ou tel thème. Il est toutefois complet et substantiel. En cela, pour les étudiants de première année, il est un ouvrage de culture qui peut être lu sans chercher à mémoriser mais en cherchant à comprendre - comprendre ! -, élever son niveau général (en connaissances juridiques et langue juridique).
Ainsi et notamment, les TD se préparent avec ce type d'ouvrage qui renvoient systématiquement aux articles (dispositions juridiques), aux décisions de justice et aux analyses doctrinales (citées en références, en note). L'usage d'internet qui provoque des erreurs et contresens grossiers ne convient pas !
Cependant, les étudiants qui entament une recherche de 5e année, ou même de doctorat, le consulteront avec profit. Il est dans la tradition de revoir sa "théorie générale du droit" avant de passer à la recherche et surtout à l'écriture ! Tradition de modestie et de méthode !
A tous les points de vue, l'ouvrage est un investissement, soit un bien (en soi seul), soit un achat finalisé dont on escompte un profit à terme, mais cela, c'est la théorie de l'investissement, les étudiants de 1re année devront attendre quelques années avant qu'on ne leur en parle. Bref, si vous l'achetez vous pourrez vous en servir pendant plusieurs années.
Sa grande qualité est d'offrir un style simple, rigoureux mais non rigide - la phrase dure du juriste finissant parfois par désarmer. Nicolas Balat reprend le "travail de sédimentation" de Philippe Malinvaud et c'est une alliance - et une succession - fort intéressante.
L'ouvrage demeure synthétique si on sait piocher dans tel ou tel thème. Il est toutefois complet et substantiel. En cela, pour les étudiants de première année, il est un ouvrage de culture qui peut être lu sans chercher à mémoriser mais en cherchant à comprendre - comprendre ! -, élever son niveau général (en connaissances juridiques et langue juridique).
Ainsi et notamment, les TD se préparent avec ce type d'ouvrage qui renvoient systématiquement aux articles (dispositions juridiques), aux décisions de justice et aux analyses doctrinales (citées en références, en note). L'usage d'internet qui provoque des erreurs et contresens grossiers ne convient pas !
Cependant, les étudiants qui entament une recherche de 5e année, ou même de doctorat, le consulteront avec profit. Il est dans la tradition de revoir sa "théorie générale du droit" avant de passer à la recherche et surtout à l'écriture ! Tradition de modestie et de méthode !
A tous les points de vue, l'ouvrage est un investissement, soit un bien (en soi seul), soit un achat finalisé dont on escompte un profit à terme, mais cela, c'est la théorie de l'investissement, les étudiants de 1re année devront attendre quelques années avant qu'on ne leur en parle. Bref, si vous l'achetez vous pourrez vous en servir pendant plusieurs années.