Certes il est aujourd'hui riche à millions et il peut être à l'heure au boulot et même en avance. Il a cependant dû avoir ce comportement depuis toujours. Voilà qui lui a permis d'exploiter son talent et de le porter au plus haut - et ainsi de gagner des millions. Bosser dur, arriver à l'heure, ne pas s'absenter, rattraper au double si l'on est absent, rendre des travaux propres, s'impliquer, travailler même le WE... les clés de la réussite sont les mêmes depuis l'aube de temps et dans tous les domaines.
Voilà un discours politique pour les jeunes. Un discours jamais tenu. Et voilà pourquoi le pays s'effondre.
Certes cette attitude ne vous permettra pas de devenir millionnaire, sauf quelques très rares exceptions. Vous pouvez cependant espérer gagner quelque argent et vivre bien. Et ainsi un peu (réellement) aider autrui.
Mais cette voie vous permettra aussi de ne pas être un assisté qui ne fait que quémander pour vivre et, en outre, vous comprendrez un peu le monde dans lequel vous vivez.
Il n'y pas de droit fondamental à baisser la tête, à être inactif et à rester inculte et idiot.
La lâcheté des socialistes, des centristes, des droitistes, des extrémistes, bref de tous... c'est de ne jamais dire cela. Jamais ne dire la vérité, promettre des diplômes à tous, des droits à l'infini, des chèques pour tous à la moindre difficulté, le droit de ne pas savoir écrire ou lire... le droit pour tous de se reposer sur les autres.
Que les salaires soient souvent trop bas n'autorisent pas à jeter toute la société par la fenêtre...
Le pays court à sa perte sauf si les jeunes se détournent de cette mentalité de mollesse qui, aujourd'hui, s'abrite sous les discours de décroissance ou écologiques : ceux qui vous poussent à cette attitude sont tous à 10 000 euros nets pour seulement baragouiner dans les médias et se mirer sur les rézos socios.
Vous êtes leur fonds de commerce, leur chiffres d'affaires : ils vous souhaitent médiocres car si vous sortiez de cet état vous les vireriez. Les politiciens les plus en vue ne sont pas loin de cet état d'esprit, des fonctionnaires de la politique qui parlent de tout et qui n'ont généralement rien fait de significatif - sinon réussir un concours d'élite réservé à une bourgeoisie étroite... ou de se présenter à toutes les élections...
Au cœur même des institutions, de l'école (au sens large), la lâcheté est à la mode et l'indulgence permanente est de mise. Vouloir la République c'est désormais être fasciste. C'est pourtant avec toutes ces lâchetés qu'une réaction surviendra, soit un régime autoritaire, peut-être fasciste, qui vous opprimera.
La République exige de bosser. Chacun à son niveau et avec ses possibilités. Mas chacun intensément.
Voilà un discours politique pour les jeunes. Un discours jamais tenu. Et voilà pourquoi le pays s'effondre.
Certes cette attitude ne vous permettra pas de devenir millionnaire, sauf quelques très rares exceptions. Vous pouvez cependant espérer gagner quelque argent et vivre bien. Et ainsi un peu (réellement) aider autrui.
Mais cette voie vous permettra aussi de ne pas être un assisté qui ne fait que quémander pour vivre et, en outre, vous comprendrez un peu le monde dans lequel vous vivez.
Il n'y pas de droit fondamental à baisser la tête, à être inactif et à rester inculte et idiot.
La lâcheté des socialistes, des centristes, des droitistes, des extrémistes, bref de tous... c'est de ne jamais dire cela. Jamais ne dire la vérité, promettre des diplômes à tous, des droits à l'infini, des chèques pour tous à la moindre difficulté, le droit de ne pas savoir écrire ou lire... le droit pour tous de se reposer sur les autres.
Que les salaires soient souvent trop bas n'autorisent pas à jeter toute la société par la fenêtre...
Le pays court à sa perte sauf si les jeunes se détournent de cette mentalité de mollesse qui, aujourd'hui, s'abrite sous les discours de décroissance ou écologiques : ceux qui vous poussent à cette attitude sont tous à 10 000 euros nets pour seulement baragouiner dans les médias et se mirer sur les rézos socios.
Vous êtes leur fonds de commerce, leur chiffres d'affaires : ils vous souhaitent médiocres car si vous sortiez de cet état vous les vireriez. Les politiciens les plus en vue ne sont pas loin de cet état d'esprit, des fonctionnaires de la politique qui parlent de tout et qui n'ont généralement rien fait de significatif - sinon réussir un concours d'élite réservé à une bourgeoisie étroite... ou de se présenter à toutes les élections...
Au cœur même des institutions, de l'école (au sens large), la lâcheté est à la mode et l'indulgence permanente est de mise. Vouloir la République c'est désormais être fasciste. C'est pourtant avec toutes ces lâchetés qu'une réaction surviendra, soit un régime autoritaire, peut-être fasciste, qui vous opprimera.
La République exige de bosser. Chacun à son niveau et avec ses possibilités. Mas chacun intensément.