Le Master 2 Droit des Affaires et de la Banque (M2 DADB) vous invite à une conférence-débat le mercredi 2 mars 2016, Amphi Domat, 18 h. : Le Droit bancaire et financier : Une nouvelle matière, De nouvelles carrières
Conférence dirigée par Hervé CAUSSE, dans une Table ronde avec le concours de
la Caisse d’épargne d’Auvergne et du Limousin et les étudiants du M2 DADB
Table ronde avec les Directeurs juridiques de la Caisse d’Epargne d’Auvergne et du Limousin :
Laurent LHERITIER, Directeur Contentieux Recouvrement et Affaires Spéciales,
Olivier BARONI, Directeur Adjoint du contentieux Recouvrement et Affaires Spéciales,
Christophe LAVEST, Responsable Département Juridique,
Et,
Gwenaêlle MAGE, chargée d’enseignement à l’UDA, doctorante contractuelle, titulaire du M2 DADB
Angélique LACOMBE est titulaire du M2 DADB, elle est juriste dans le secteur libéral et depuis cette année chargée d’enseignement à l’UDA
Fanny CHANON, titulaire du M2 DADB, elle est juriste dans le secteur bancaire et financier et depuis cette année chargée d’enseignement à l’UDA.
Et,
Hervé CAUSSE, Professeur d’Université à l’UDA, spécialiste de droit des affaires, Directeur de l’encyclopédie Droit bancaire des éditions Lexbase, Responsable du Master droit de l’entreprise et le Master 2 Droit des affaires et de la banque.
Conférence
Le monde fut au bord de l’infarctus financier en 2008. La crise financière a alors manqué de provoquer une faillite mondiale. Les soubresauts de la crise menacent encore de mettre en faillite les grandes entités financières, publiques ou privées. Ainsi, en 2015, la Grèce a dû fermer ses banques dans l’attente de savoir si elle allait éviter de « faire défaut » – cessation des paiements – « en faillite ».
En France, pour créer la stabilité financière, le législateur a depuis lors modifié cent fois le Code monétaire et financier suite à 40 règlements et directives de l’Union européenne. Ce code concentre mille mécanismes juridiques aussi techniques qu’inédits.
Ces évolutions, intellectuellement intéressantes sur divers plans (social, économique, financier et juridique), suggèrent d’adapter l’enseignement juridique pour informer les étudiants des métiers qui émergent et les préparer à ce choc de spécialité. Les grands opérateurs (grandes entreprises, collectivités publiques) et les institutions financières, privées ou publiques, ont fait muter les métiers du droit des affaires.
Le juriste doit souvent se spécialiser pour répondre aux de maîtrise de centaines de techniques financières.
Le juriste d’entreprise et le juriste de banque suivent la nouvelle matière : leur spécialité s’affine. Ainsi, outre les métiers traditionnels dans le domaine du droit des affaires, la sophistication de la matière ouvre sur de nouveaux métiers et de nouvelles carrières : juriste conformité (compliance officer), juriste OPCVM, juriste private equity, juriste salle des marchés, juriste back office, juriste e-banking…
Le ministère de l’enseignement supérieur a ainsi reconnu, en 2014, la spécialité « Master Droit Bancaire et Financier » comme diplôme que les Universités peuvent délivrer.
Conférence dirigée par Hervé CAUSSE, dans une Table ronde avec le concours de
la Caisse d’épargne d’Auvergne et du Limousin et les étudiants du M2 DADB
Table ronde avec les Directeurs juridiques de la Caisse d’Epargne d’Auvergne et du Limousin :
Laurent LHERITIER, Directeur Contentieux Recouvrement et Affaires Spéciales,
Olivier BARONI, Directeur Adjoint du contentieux Recouvrement et Affaires Spéciales,
Christophe LAVEST, Responsable Département Juridique,
Et,
Gwenaêlle MAGE, chargée d’enseignement à l’UDA, doctorante contractuelle, titulaire du M2 DADB
Angélique LACOMBE est titulaire du M2 DADB, elle est juriste dans le secteur libéral et depuis cette année chargée d’enseignement à l’UDA
Fanny CHANON, titulaire du M2 DADB, elle est juriste dans le secteur bancaire et financier et depuis cette année chargée d’enseignement à l’UDA.
Et,
Hervé CAUSSE, Professeur d’Université à l’UDA, spécialiste de droit des affaires, Directeur de l’encyclopédie Droit bancaire des éditions Lexbase, Responsable du Master droit de l’entreprise et le Master 2 Droit des affaires et de la banque.
Conférence
Le monde fut au bord de l’infarctus financier en 2008. La crise financière a alors manqué de provoquer une faillite mondiale. Les soubresauts de la crise menacent encore de mettre en faillite les grandes entités financières, publiques ou privées. Ainsi, en 2015, la Grèce a dû fermer ses banques dans l’attente de savoir si elle allait éviter de « faire défaut » – cessation des paiements – « en faillite ».
En France, pour créer la stabilité financière, le législateur a depuis lors modifié cent fois le Code monétaire et financier suite à 40 règlements et directives de l’Union européenne. Ce code concentre mille mécanismes juridiques aussi techniques qu’inédits.
Ces évolutions, intellectuellement intéressantes sur divers plans (social, économique, financier et juridique), suggèrent d’adapter l’enseignement juridique pour informer les étudiants des métiers qui émergent et les préparer à ce choc de spécialité. Les grands opérateurs (grandes entreprises, collectivités publiques) et les institutions financières, privées ou publiques, ont fait muter les métiers du droit des affaires.
Le juriste doit souvent se spécialiser pour répondre aux de maîtrise de centaines de techniques financières.
Le juriste d’entreprise et le juriste de banque suivent la nouvelle matière : leur spécialité s’affine. Ainsi, outre les métiers traditionnels dans le domaine du droit des affaires, la sophistication de la matière ouvre sur de nouveaux métiers et de nouvelles carrières : juriste conformité (compliance officer), juriste OPCVM, juriste private equity, juriste salle des marchés, juriste back office, juriste e-banking…
Le ministère de l’enseignement supérieur a ainsi reconnu, en 2014, la spécialité « Master Droit Bancaire et Financier » comme diplôme que les Universités peuvent délivrer.