La course à la note, la course aux examens, on avale sans rien comprendre et on sauve les meubles. On obtient des examens qui ne veulent pas dire grand chose si, encore, ils veulent dire quelque chose. Le schéma est trop connu et il fera de nombreux diplômés qui ne sont pas au niveau pour assumer la profession qu'ils visent.
La crise de l'Université ne réside pas dans le distantiel, mais plutôt dans le fait que les étudiants ne parviennent pas à étudier et doutent de la méthode à appliquer. Pourtant souvent simple. Lire, passer des heures à sa table de travail et s'exercer à faire tel et tel devoir / exercice.
La consigne est simple : lire, relire, relire pour synthétiser et le refaire, encore relire, pour la même matière (eh oui !). Et ainsi pour toutes les matières. Et pour le juriste ouvrir le dictionnaires généraux et juridiques plusieurs fois par jour, tout en réfléchissant (en comprenant, en profondeur, et en synthèse : savoir ce qu'il y a à raconter sur un sujet).
Lire plusieurs heures par jour pour ne pas écrire des âneries insupportables - sachant que des âneries supportables il y en a, contrairement à ce que soutient un discours élitiste limité par son caractère obtus, et que des âneries tout le monde en écrit et en a écrit.
Un défi quand la recherche elle-même commence à afficher des propos qui n'apporte rien voire qui embrouille tout ou ps mal de choses. Les étudiants doivent donc savoir aussi ce qu'il y a à lire, et ce qu'il faut lire pour vérifier le creux des propos.
Le courage manque à l'institution universitaire pour oser dire la vérité aux étudiants. Il est vrai que le pouvoir politique est sans ligne ou équivoque. Il est donc important que les universitaires outre la politique et outre la technocratie universitaire, disent les chosent à dire.
Voilà la première des conditions de la survie de l'université, sinon elle disparaîtra.
La crise de l'Université ne réside pas dans le distantiel, mais plutôt dans le fait que les étudiants ne parviennent pas à étudier et doutent de la méthode à appliquer. Pourtant souvent simple. Lire, passer des heures à sa table de travail et s'exercer à faire tel et tel devoir / exercice.
La consigne est simple : lire, relire, relire pour synthétiser et le refaire, encore relire, pour la même matière (eh oui !). Et ainsi pour toutes les matières. Et pour le juriste ouvrir le dictionnaires généraux et juridiques plusieurs fois par jour, tout en réfléchissant (en comprenant, en profondeur, et en synthèse : savoir ce qu'il y a à raconter sur un sujet).
Lire plusieurs heures par jour pour ne pas écrire des âneries insupportables - sachant que des âneries supportables il y en a, contrairement à ce que soutient un discours élitiste limité par son caractère obtus, et que des âneries tout le monde en écrit et en a écrit.
Un défi quand la recherche elle-même commence à afficher des propos qui n'apporte rien voire qui embrouille tout ou ps mal de choses. Les étudiants doivent donc savoir aussi ce qu'il y a à lire, et ce qu'il faut lire pour vérifier le creux des propos.
Le courage manque à l'institution universitaire pour oser dire la vérité aux étudiants. Il est vrai que le pouvoir politique est sans ligne ou équivoque. Il est donc important que les universitaires outre la politique et outre la technocratie universitaire, disent les chosent à dire.
Voilà la première des conditions de la survie de l'université, sinon elle disparaîtra.