Les Hommes ?
Il en existe deux grandes sortes
Les mondains
Les pêcheurs
Les premiers ne sont jamais dans la vérité, ils ont peur d’y être, ils sont dans la vie abstraite des mondanités, rémunérations, richesses, politesses, carrières, décorations, honneurs et autres bassesses diverses.
Les seconds, les pêcheurs, sont toujours dans la vérité, dans la vérité de la vie, y compris lorsqu’ils se trompent, car ils regardent l’eau, le ciel, surveillent le vent et le poisson qui peut mourir dans leurs mains dans lesquelles ils sentent la vie, sa vie.
Il y a d’autres sortes d'hommes, des catégories mineures.
Les normaux et les méchants
Les solitaires et les grégaires
Les courageux et les peureux
Les forts et les moins forts
Les idiots et les à peu près normaux (aucun n’est intelligent, la preuve, personne ne sait ce qu'est l'intelligence)
Les indifférents et les amoureux
Les artistes et divers autres
Les travailleurs et quelques autres
Les auteurs passionnés des créations – futiles ? Les spectateurs.
Il y en a qui se distinguent plus joyeusement, outre les joyeux et les tristes.
Les tristes, sont parfois innocents de leur sort qui accumulent du malheur car…
Il y a les malchanceux et tous les autres.
Sinon, il y a les enthousiastes et les sceptiques
Les rigolards, bien différents des gens sérieux
Les volontaires et les timides
Les dynamiques et les fatigués
Les fiers et les moins fiers
Les cœurs sensibles et les âmes dures
Les buveurs et les sobres.
Des catégories empruntent au tragique, la tragédie est de la vie.
Il y les haineux de la haine dure
Il y a les destructeurs de la destruction dure
Il y a les traitres et les autres, plutôt loyaux
Les traitres sont une véritable sous-espèce, affligeante
Qui abaisse l’homme de l’intérieur
Qui peut bien mal tourner à tout instant.
Il y a aussi, proches et cependant pires que les traites, les salopards.
Entre eux peut-être il y a-t-il les enfoirés, capables de grasses saloperies, sans être de la classe criminelle des salopards ; les dénonciateurs, les délateurs...
La grande division est ci-dessous.
Les salopards et les gens biens – ou pas trop mal.
Les salopards envoient des milliers d’âmes à la guerre
Les salopards, ils éradiquent, ils font du terrorisme
Ils font des camps et exterminent, chassent la bête et l’homme par centaines ou milliers jusqu’à la dernière goutte de sang.
Un doute nous étreint alors qui reflète en confusions.
Il y a les fous et ceux qui ne le sont pas, des personnes ordinaires, peut-être ordinairement dérangées.
Et parmi les uns et les autres,
Parmi tous ces gens,
Toutes ces Femmes, ces Hommes, ces Humains
Tous, tous ces détails, qui sortiront un jour de l’histoire qu’ils ont inventée, tous ces humains, pour se raconter, il y a…
Le ciel et l’eau, le vent et le poisson,
Le poisson qui, pêché, bat sa vie dans nos mains
Et qui demain nagera
Sans que nul homme ne soit là pour le voir qui vient
A la surface pour deviner le soleil
Ou qui vient à sauter d'un saut de poisson.
Alors. Alors ? Alors que le pêcheur profite !
Du fil de l’eau de la vie.
Il en existe deux grandes sortes
Les mondains
Les pêcheurs
Les premiers ne sont jamais dans la vérité, ils ont peur d’y être, ils sont dans la vie abstraite des mondanités, rémunérations, richesses, politesses, carrières, décorations, honneurs et autres bassesses diverses.
Les seconds, les pêcheurs, sont toujours dans la vérité, dans la vérité de la vie, y compris lorsqu’ils se trompent, car ils regardent l’eau, le ciel, surveillent le vent et le poisson qui peut mourir dans leurs mains dans lesquelles ils sentent la vie, sa vie.
Il y a d’autres sortes d'hommes, des catégories mineures.
Les normaux et les méchants
Les solitaires et les grégaires
Les courageux et les peureux
Les forts et les moins forts
Les idiots et les à peu près normaux (aucun n’est intelligent, la preuve, personne ne sait ce qu'est l'intelligence)
Les indifférents et les amoureux
Les artistes et divers autres
Les travailleurs et quelques autres
Les auteurs passionnés des créations – futiles ? Les spectateurs.
Il y en a qui se distinguent plus joyeusement, outre les joyeux et les tristes.
Les tristes, sont parfois innocents de leur sort qui accumulent du malheur car…
Il y a les malchanceux et tous les autres.
Sinon, il y a les enthousiastes et les sceptiques
Les rigolards, bien différents des gens sérieux
Les volontaires et les timides
Les dynamiques et les fatigués
Les fiers et les moins fiers
Les cœurs sensibles et les âmes dures
Les buveurs et les sobres.
Des catégories empruntent au tragique, la tragédie est de la vie.
Il y les haineux de la haine dure
Il y a les destructeurs de la destruction dure
Il y a les traitres et les autres, plutôt loyaux
Les traitres sont une véritable sous-espèce, affligeante
Qui abaisse l’homme de l’intérieur
Qui peut bien mal tourner à tout instant.
Il y a aussi, proches et cependant pires que les traites, les salopards.
Entre eux peut-être il y a-t-il les enfoirés, capables de grasses saloperies, sans être de la classe criminelle des salopards ; les dénonciateurs, les délateurs...
La grande division est ci-dessous.
Les salopards et les gens biens – ou pas trop mal.
Les salopards envoient des milliers d’âmes à la guerre
Les salopards, ils éradiquent, ils font du terrorisme
Ils font des camps et exterminent, chassent la bête et l’homme par centaines ou milliers jusqu’à la dernière goutte de sang.
Un doute nous étreint alors qui reflète en confusions.
Il y a les fous et ceux qui ne le sont pas, des personnes ordinaires, peut-être ordinairement dérangées.
Et parmi les uns et les autres,
Parmi tous ces gens,
Toutes ces Femmes, ces Hommes, ces Humains
Tous, tous ces détails, qui sortiront un jour de l’histoire qu’ils ont inventée, tous ces humains, pour se raconter, il y a…
Le ciel et l’eau, le vent et le poisson,
Le poisson qui, pêché, bat sa vie dans nos mains
Et qui demain nagera
Sans que nul homme ne soit là pour le voir qui vient
A la surface pour deviner le soleil
Ou qui vient à sauter d'un saut de poisson.
Alors. Alors ? Alors que le pêcheur profite !
Du fil de l’eau de la vie.