L'outil IBM Watson pourrait révolutionner le métier de conseiller de banque. Le métier est difficile. Il exige des cadres pour manager les conseillers. Mais il exige des conseillers de la nuance face à l'infinité de situations. Les formations bancaires se calent sur les idées du management. On forme parfois à des idées juridiques qui sont soit des vieilles lunes, soit des simplifications coupables.
On a ainsi un standard. Tout le monde est rassuré : le management et les conseillers. La standardisation tranquillise en ignorant. On force la volonté des clients à entrer dans un cadre. C'est à ce prix que les professionnels se rassurent.
Mais le client, lui, doit-il être rassuré ?
En tout cas, puisqu'on en est à de la standardisation, par les hommes, il est sans doute assez aisé de passer à une standardisation par un outil d'intelligence artificielle. Un système intelligent.
C'est donc à lui qu'il faudra donner des conseils juridiques pour éviter des présentations
On a ainsi un standard. Tout le monde est rassuré : le management et les conseillers. La standardisation tranquillise en ignorant. On force la volonté des clients à entrer dans un cadre. C'est à ce prix que les professionnels se rassurent.
Mais le client, lui, doit-il être rassuré ?
En tout cas, puisqu'on en est à de la standardisation, par les hommes, il est sans doute assez aisé de passer à une standardisation par un outil d'intelligence artificielle. Un système intelligent.
C'est donc à lui qu'il faudra donner des conseils juridiques pour éviter des présentations
aussi courantes que juridiquement approximatives. Elles entravent l'action commerciale sans purger les risques juridiques. D'où un contentieux bancaire considérable. Sans doute Watson retiendra-t-il plus aisément, par exemple, les obligations des services d'investissement sans parler de "droit bancaire" - l'ancêtre du droit actuel.
Ce propos introduit la présentation de l'IBM Watson. Ce conseiller de banque qui rend tout "elementary !" pour le conseiller de banque. On peut penser qu'il devra contrôler le résultat de la machine. Il devra donc notamment cerner les dernières véritables (celles qui apportent) jurisprudence.
Le Journal du Net apprend que le Crédit Mutuel et Orange Bank testent l'intelligence artificielle de Big Blue afin d'améliorer l'expérience client et créer de la valeur ajoutée. Le JDN indique :
"L'intelligence artificielle toque à toutes les portes, même à celles des banques. Et IBM, avec son offre IBM Watson, a fait de ce secteur une priorité. En quelques années, il a signé avec des grands noms du secteur : l'écossais Royal Bank of Scotland, la singapourienne DBS Bank et plus récemment le français Crédit Mutuel. Leur point commun ? Ils veulent tous améliorer leur expérience client pour contrer des fintech toujours plus réactives et innovantes. Pour cela, IBM Watson interagit en langage naturel avec l'utilisateur, trouve la réponse à la question qui lui est posée et s'adapte au profil de l'utilisateur. "Notre système est basé sur du machine learning et du deep learning, il est donc toujours en train d'apprendre. Or, pour changer l'expérience client, il faut s'adapter à son interlocuteur. C'est ce que fait le système Watson", explique Jean-Philippe Desbiolles, VP IBM Watson pour la France."
Vers le Journal du Net : Avec IBM Watson, la banque veut libérer les conseillers et capturer les clients
Ce propos introduit la présentation de l'IBM Watson. Ce conseiller de banque qui rend tout "elementary !" pour le conseiller de banque. On peut penser qu'il devra contrôler le résultat de la machine. Il devra donc notamment cerner les dernières véritables (celles qui apportent) jurisprudence.
Le Journal du Net apprend que le Crédit Mutuel et Orange Bank testent l'intelligence artificielle de Big Blue afin d'améliorer l'expérience client et créer de la valeur ajoutée. Le JDN indique :
"L'intelligence artificielle toque à toutes les portes, même à celles des banques. Et IBM, avec son offre IBM Watson, a fait de ce secteur une priorité. En quelques années, il a signé avec des grands noms du secteur : l'écossais Royal Bank of Scotland, la singapourienne DBS Bank et plus récemment le français Crédit Mutuel. Leur point commun ? Ils veulent tous améliorer leur expérience client pour contrer des fintech toujours plus réactives et innovantes. Pour cela, IBM Watson interagit en langage naturel avec l'utilisateur, trouve la réponse à la question qui lui est posée et s'adapte au profil de l'utilisateur. "Notre système est basé sur du machine learning et du deep learning, il est donc toujours en train d'apprendre. Or, pour changer l'expérience client, il faut s'adapter à son interlocuteur. C'est ce que fait le système Watson", explique Jean-Philippe Desbiolles, VP IBM Watson pour la France."
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