Le RIB de M. Trogneux excite les idiots d'une petite fraction de la sphère numérique qui attaquent Brigitte Macron, sa sœur, depuis des années. Elle et lui ont obtenu, ce 12 septembre, une condamnation judiciaire pour leurs affabulations (réparations civiles à leur payer, et une modeste amende).
Avis aux amateurs, tous ceux qui colportent la même rumeur pourraient être assignés ou cités en justice, et pour ma part je verrais d'un bon œil que les victimes (il y a du pénal), dans ce cas comme dans d'autres, agissent. Si les plateformes ne font pas le ménage, il faut aller chercher les petits délinquants ou fauteurs de troubles civils pour les amener devant un juge et, après des centaines de condamnations, agir contre les plateformes.
M. Trogneux est donc le frère de Mme Macron, et il a, lui aussi, dans la même instance, obtenu une condamnation. L'homme vit a priori caché, c'est son droit. Or, si j'ai bien compris, les idiots de la sphère complotistes soutiennent que Madame est Monsieur. Cela vise en vérité à discréditer le président de la République qui vivrait donc avec un homme. Tout cela tourne au ridicule et en vérité à l'embrouille politicienne (comme si le chef de l'Etat ne pouvait pas être attaqué pour son bilan politique...).
Le mal qui est fait au gens avec ses insinuations, affirmations, accusations, dénonciations, duplications, reproductions... est incroyable. Une chanteuse célèbre racontée comment les rumeurs la faisant passer pour une homme l'avait minée (et peut-être son entourage).
Bon, M. Trogneux n'existerait finalement pas ou plus et donc, sans existence, les intellectuels de l'enquête (sur certains réseaux sociaux) ont trouvé l'idée géniale de dire que, comme il n'existe pas,il n'avait pas de RIB pour encaisser ses dommages et intérêts. Idée !!!
On passe sur le fait qu'un plainte suppose de prouver son identité, on se fixe sur le RIB puisque, sous un aspect intelligent (le RIB c'est bancaire... financier...), il accroît l'idiotie des complotistes.Donc, à l'annonce de la condamnation, les imbéciles précités ont rebondi et repris leurs insinuations ou fake news avec le RIB L'attaque est désormais censée faire rire : "pas de RIB, pas de sous de la réparation civile, ah ah ah !".
On va déjà apprendre à cette fange que le RIB (relevé d'identité bancaire) mérite d'être désormais appelé relevé de numéro de compte dit, dans la loi, "identifiant unique" (IBAN pour l'acronyme à partir de l'anglais). A leur grand désespoir, je dois aussi leur dire que les opérations bancaires n'exigent que ce numéro, sans nom ni adresse (c'est un complot de l'Union européenne, de la Directive services de paiement de 2007 !). C'est donc le droit européen qui permet ce document allégé et avant la percée politique de Emmanuel Macron. Les abrutis qui ricanent, ignorants, sur le fait qu'ils voudraient voir le RIB de M. Trogneux serait fort déçu si on le leur montrait. Certes des banques peuvent pratiquer le RIB à l'ancienne, mais rien ne les y oblige, et c'est peut-être même l'inverse qui les oblige.
On va ensuite leur apprendre que, même dans sa forme traditionnelle, le RIB comporte des données personnelles confidentielles. Il n'a donc pas à être montré à qui n'a pas à faire, avec, une opération de paiement (dans la langue courante et désormais erronée on dit opération bancaire). A l'inverse, le montrer pourrait être une faute du client qui manque alors de prudence en donnant un document contractuel (il reflète le contrat de compte), ce qui est de nature à aider les hackers et autres escrocs à opérer, ce qui constituerait une faute dans l'exécution du contrat de compte. Le banquier est plus encore tenu au secret que son client. Donc un RIB, ça se montre peu.
L'excitation malsaine de ces gens, qui se croient intelligents en parlant du RIB, montre à elle seule leur imbécilité. Ils ne savent pas ce qu'est un RIB, mais ils ont des liens avec la CIA qui, elle-même, sait tout sur Amiens, Le Touquet et l'Elysée...
Il y a encore une raison pour laquelle cette question de RIB est idiote.
Lorsqu'une condamnation civile intervient, fût-ce au pénal, comme en l'espèce, et que la victime est absente mais représentée par un avocat, le règlement des dommages et intérêts se fait par l'intermédiaire de l'avocat. En vérité, c'est par l'intermédiaire de la Caisse commune des avocats (dite en acronyme "CARPA", organe obligatoire de tout Barreau), plus que par cet avocat lui-même, que le paiement se fait. Le RIB sera remis à la Caisse qui payera finalement la victime. L'avocat est tenu au secret professionnel, ici, pour le RIB, comme pour la plupart des informations qu'il détient à l'occasion d'une mission.
Bref, si on peut dire, quand les idiots réclament le RIB de telle personne, qu'ils n'obtiendront pas, ils insinuent que cela prouve la véracité de leurs imbécilités complotistes, du reste à vomir. Or, en réalité factuelle et juridique, elles ne l'obtiendront pas NON PAS parce que cette personne n'existe pas, ou que le RIB n'existe pas, mais parce que des raisons juridiques majeures empêchent que ce soit le cas, et pour des raisons juridiques multiples tenant à diverses dispositions légales.
Ah le monde est bien compliqué, surtout pour certains.
Avis aux amateurs, tous ceux qui colportent la même rumeur pourraient être assignés ou cités en justice, et pour ma part je verrais d'un bon œil que les victimes (il y a du pénal), dans ce cas comme dans d'autres, agissent. Si les plateformes ne font pas le ménage, il faut aller chercher les petits délinquants ou fauteurs de troubles civils pour les amener devant un juge et, après des centaines de condamnations, agir contre les plateformes.
M. Trogneux est donc le frère de Mme Macron, et il a, lui aussi, dans la même instance, obtenu une condamnation. L'homme vit a priori caché, c'est son droit. Or, si j'ai bien compris, les idiots de la sphère complotistes soutiennent que Madame est Monsieur. Cela vise en vérité à discréditer le président de la République qui vivrait donc avec un homme. Tout cela tourne au ridicule et en vérité à l'embrouille politicienne (comme si le chef de l'Etat ne pouvait pas être attaqué pour son bilan politique...).
Le mal qui est fait au gens avec ses insinuations, affirmations, accusations, dénonciations, duplications, reproductions... est incroyable. Une chanteuse célèbre racontée comment les rumeurs la faisant passer pour une homme l'avait minée (et peut-être son entourage).
Bon, M. Trogneux n'existerait finalement pas ou plus et donc, sans existence, les intellectuels de l'enquête (sur certains réseaux sociaux) ont trouvé l'idée géniale de dire que, comme il n'existe pas,il n'avait pas de RIB pour encaisser ses dommages et intérêts. Idée !!!
On passe sur le fait qu'un plainte suppose de prouver son identité, on se fixe sur le RIB puisque, sous un aspect intelligent (le RIB c'est bancaire... financier...), il accroît l'idiotie des complotistes.Donc, à l'annonce de la condamnation, les imbéciles précités ont rebondi et repris leurs insinuations ou fake news avec le RIB L'attaque est désormais censée faire rire : "pas de RIB, pas de sous de la réparation civile, ah ah ah !".
On va déjà apprendre à cette fange que le RIB (relevé d'identité bancaire) mérite d'être désormais appelé relevé de numéro de compte dit, dans la loi, "identifiant unique" (IBAN pour l'acronyme à partir de l'anglais). A leur grand désespoir, je dois aussi leur dire que les opérations bancaires n'exigent que ce numéro, sans nom ni adresse (c'est un complot de l'Union européenne, de la Directive services de paiement de 2007 !). C'est donc le droit européen qui permet ce document allégé et avant la percée politique de Emmanuel Macron. Les abrutis qui ricanent, ignorants, sur le fait qu'ils voudraient voir le RIB de M. Trogneux serait fort déçu si on le leur montrait. Certes des banques peuvent pratiquer le RIB à l'ancienne, mais rien ne les y oblige, et c'est peut-être même l'inverse qui les oblige.
On va ensuite leur apprendre que, même dans sa forme traditionnelle, le RIB comporte des données personnelles confidentielles. Il n'a donc pas à être montré à qui n'a pas à faire, avec, une opération de paiement (dans la langue courante et désormais erronée on dit opération bancaire). A l'inverse, le montrer pourrait être une faute du client qui manque alors de prudence en donnant un document contractuel (il reflète le contrat de compte), ce qui est de nature à aider les hackers et autres escrocs à opérer, ce qui constituerait une faute dans l'exécution du contrat de compte. Le banquier est plus encore tenu au secret que son client. Donc un RIB, ça se montre peu.
L'excitation malsaine de ces gens, qui se croient intelligents en parlant du RIB, montre à elle seule leur imbécilité. Ils ne savent pas ce qu'est un RIB, mais ils ont des liens avec la CIA qui, elle-même, sait tout sur Amiens, Le Touquet et l'Elysée...
Il y a encore une raison pour laquelle cette question de RIB est idiote.
Lorsqu'une condamnation civile intervient, fût-ce au pénal, comme en l'espèce, et que la victime est absente mais représentée par un avocat, le règlement des dommages et intérêts se fait par l'intermédiaire de l'avocat. En vérité, c'est par l'intermédiaire de la Caisse commune des avocats (dite en acronyme "CARPA", organe obligatoire de tout Barreau), plus que par cet avocat lui-même, que le paiement se fait. Le RIB sera remis à la Caisse qui payera finalement la victime. L'avocat est tenu au secret professionnel, ici, pour le RIB, comme pour la plupart des informations qu'il détient à l'occasion d'une mission.
Bref, si on peut dire, quand les idiots réclament le RIB de telle personne, qu'ils n'obtiendront pas, ils insinuent que cela prouve la véracité de leurs imbécilités complotistes, du reste à vomir. Or, en réalité factuelle et juridique, elles ne l'obtiendront pas NON PAS parce que cette personne n'existe pas, ou que le RIB n'existe pas, mais parce que des raisons juridiques majeures empêchent que ce soit le cas, et pour des raisons juridiques multiples tenant à diverses dispositions légales.
Ah le monde est bien compliqué, surtout pour certains.
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Dans la langue des révolutionnaire d'opérette... voyez ce "média mainstream"... :
Lien vers l'article du journal Le Monde (notre image d'illustation)
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