Le Brexit est le résultat d'une Europe qui accumule les défauts - même si elle a aussi de nombreuses vertus. Les populistes prospèrent sur des défauts bien réels, ce qui rend le combat démocratique difficile.
Ces derniers jours, la démocratie européenne a pris un grand coup sur la tête. Il contribuera à promouvoir les partis et positions extrêmes et le populisme en Europe. On a appris que l'ancien président de la Commission de l'Union européenne, Manuel BARROSO, a été employé par la banque qui dirige le monde (selon un intitulé de reportage).
Enquête sur Goldman Sachs diffusée sur Arte
La communication de cette nouvelle hallucinante est soignée et idéale : l'été s'ouvre et expédie tout le monde en vacances, la compétition de football de l'euro occupe les esprits et d'autres vont suivre. Le peuple sera occuper à autre chose et ne comprendra pas ! La classe politique se taira pour ne pas accroître son impopularité.
Quel est le constat à faire aujourd'hui ?!
La finance européenne a été reformée par un employé de Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde !
L'Union bancaire avec 30 autres lois européennes, ont été élaborées par un employé de l'une des banques qui peut, à tout instant, par une de ses stratégies ou de ses erreurs, mettre la finance mondiale en faillite et, de ce fait, arrêter l'économie de la planète.
Cela signifie des millions de pauvres et de morts, les crises économiques sévères ne sont pas seulement des questions de chiffres économiques. Mais depuis la France il est difficile de critiquer le fait que le service public soit un moyen de conquérir des positions dans le privé puisque, à certains égards, c'est le modèle français (le thème du pantouflage est très connu et pratiqué).
On attend les réactions des régulateurs et de l'ensemble des institutions publiques... La critique de la presse ne suffit pas. On va bien voir qui va empêcher s'opposer à cette nouvelle et participer à sa remise en cause. Il convient d'empêcher la culture du mélange des genres, ce qui est une stratégie majeure de Goldman Sachs qui emploie et missionne ministres et chefs de gouvernement.
Article du journal Le Monde, cliquez ici
Enquête sur Goldman Sachs diffusée sur Arte
Ces derniers jours, la démocratie européenne a pris un grand coup sur la tête. Il contribuera à promouvoir les partis et positions extrêmes et le populisme en Europe. On a appris que l'ancien président de la Commission de l'Union européenne, Manuel BARROSO, a été employé par la banque qui dirige le monde (selon un intitulé de reportage).
Enquête sur Goldman Sachs diffusée sur Arte
La communication de cette nouvelle hallucinante est soignée et idéale : l'été s'ouvre et expédie tout le monde en vacances, la compétition de football de l'euro occupe les esprits et d'autres vont suivre. Le peuple sera occuper à autre chose et ne comprendra pas ! La classe politique se taira pour ne pas accroître son impopularité.
Quel est le constat à faire aujourd'hui ?!
La finance européenne a été reformée par un employé de Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde !
L'Union bancaire avec 30 autres lois européennes, ont été élaborées par un employé de l'une des banques qui peut, à tout instant, par une de ses stratégies ou de ses erreurs, mettre la finance mondiale en faillite et, de ce fait, arrêter l'économie de la planète.
Cela signifie des millions de pauvres et de morts, les crises économiques sévères ne sont pas seulement des questions de chiffres économiques. Mais depuis la France il est difficile de critiquer le fait que le service public soit un moyen de conquérir des positions dans le privé puisque, à certains égards, c'est le modèle français (le thème du pantouflage est très connu et pratiqué).
On attend les réactions des régulateurs et de l'ensemble des institutions publiques... La critique de la presse ne suffit pas. On va bien voir qui va empêcher s'opposer à cette nouvelle et participer à sa remise en cause. Il convient d'empêcher la culture du mélange des genres, ce qui est une stratégie majeure de Goldman Sachs qui emploie et missionne ministres et chefs de gouvernement.
Article du journal Le Monde, cliquez ici
Enquête sur Goldman Sachs diffusée sur Arte