La France est un véritable gilet jaune, elle ne parvient pas à boucler ses fins de mois. C'est mon post du matin sur Linkedin, à partager pour toute réflexion utile).
Vers Linkedin pour partager et commenter
En 2019, elle sera obligée d'emprunter 225 milliards d'euros pour payer ses dettes, dont ses fonctionnaires (voyez le lien de l'article ci-dessous).
Un jour cela pourrait s'arrêter, les prêteurs ne voulant plus prêter, et la France serait incapable de régler ses factures et ses employés -dits fonctionnaires. Les titres obligataires, obligations d'Etat qui procurent des liquidités à l'Etat, sont une véritable drogue et dépendance. Il en résulte un risque démesuré qui n'est pas un risque financier, mais un risque géopolitique qui menace l'Europe et la Paix.
Les Français doivent le comprendre et les élites doivent imaginer des solutions dépassant "la règle des 3 %" qui ne... règle rien !
On n'est pas du tout certain que si, lors des prochaines élections, une "liste européenne gilets jaunes" surgissait des ronds-points, elle nous aide à régler ce problème.
Pour ma part, lorsque j'étais membre du PRG, j'avais pu alerter de la chose (c'est banal) en proposant, devant plusieurs parlementaires et 3 ministres, dans un congrès national, qui accueillait le Premier ministre d'alors, des réflexions pour réinventer la politique monétaire. Ils ne m'en ont jamais reparlé. Le PRG a disparu. La politique monétaire est une forteresse qui protège deux ou trois dogmes.
J'ai fait ce que j'ai pu...
La France est un gilet jaune qui ne parvient pas à boucler ses fins de mois. Pour l'heure, elle réclame des "sous" aux marchés financiers pour maintenir son niveau de vie, elle continue de s'endetter, belle éthique, sur les marchés financiers. La finance : amie ou ennemie ? Je n'ai pas bien compris !
La France, elle, il est vrai, ne peut pas pleurnicher et quémander des sous à un président ou à un gouvernement...
Il y a une minorité d'électeurs qui ont conscience de ce danger. Mais l'actuelle majorité des Français reste inspirée par la majorité des Français d'hier qui ont choisi le déficit permanent*, pendant des décennies (ils sont tous aujourd'hui retraités), et même quand l'économie se portait bien.
Pour l'heure, la comédie dramatique continue. On ne sait s'il faut en rire ou en pleurer.
Avant de tourner à la pure oeuvre dramatique ?
_____________________
* C'est-à-dire les déficits publics de l'Etat, des régimes de retraite, des assurances maladie et, désormais, des collectivités territoriales car la décentralisation a été une championne des déficits...
Comment la France s'endette sur les marchés financiers, vers l'article des Echos
Vers Linkedin pour partager et commenter
En 2019, elle sera obligée d'emprunter 225 milliards d'euros pour payer ses dettes, dont ses fonctionnaires (voyez le lien de l'article ci-dessous).
Un jour cela pourrait s'arrêter, les prêteurs ne voulant plus prêter, et la France serait incapable de régler ses factures et ses employés -dits fonctionnaires. Les titres obligataires, obligations d'Etat qui procurent des liquidités à l'Etat, sont une véritable drogue et dépendance. Il en résulte un risque démesuré qui n'est pas un risque financier, mais un risque géopolitique qui menace l'Europe et la Paix.
Les Français doivent le comprendre et les élites doivent imaginer des solutions dépassant "la règle des 3 %" qui ne... règle rien !
On n'est pas du tout certain que si, lors des prochaines élections, une "liste européenne gilets jaunes" surgissait des ronds-points, elle nous aide à régler ce problème.
Pour ma part, lorsque j'étais membre du PRG, j'avais pu alerter de la chose (c'est banal) en proposant, devant plusieurs parlementaires et 3 ministres, dans un congrès national, qui accueillait le Premier ministre d'alors, des réflexions pour réinventer la politique monétaire. Ils ne m'en ont jamais reparlé. Le PRG a disparu. La politique monétaire est une forteresse qui protège deux ou trois dogmes.
J'ai fait ce que j'ai pu...
La France est un gilet jaune qui ne parvient pas à boucler ses fins de mois. Pour l'heure, elle réclame des "sous" aux marchés financiers pour maintenir son niveau de vie, elle continue de s'endetter, belle éthique, sur les marchés financiers. La finance : amie ou ennemie ? Je n'ai pas bien compris !
La France, elle, il est vrai, ne peut pas pleurnicher et quémander des sous à un président ou à un gouvernement...
Il y a une minorité d'électeurs qui ont conscience de ce danger. Mais l'actuelle majorité des Français reste inspirée par la majorité des Français d'hier qui ont choisi le déficit permanent*, pendant des décennies (ils sont tous aujourd'hui retraités), et même quand l'économie se portait bien.
Pour l'heure, la comédie dramatique continue. On ne sait s'il faut en rire ou en pleurer.
Avant de tourner à la pure oeuvre dramatique ?
_____________________
* C'est-à-dire les déficits publics de l'Etat, des régimes de retraite, des assurances maladie et, désormais, des collectivités territoriales car la décentralisation a été une championne des déficits...
Comment la France s'endette sur les marchés financiers, vers l'article des Echos