Humanisme et raison juridique, #directdroit par Hervé CAUSSE
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L'emprunteur sénior, sa décision de partir en retraite implique une mise en garde de la banque (cf. ci-dessous), la perte de chance : une chance.



L'intérêt de la mise en garde (dans mes notes j'écris MEG) est d'être connectée au mécanisme de la perte de chance.

La personne qui n'a pas été mise en garde du "risque de retraite" qu'elle a elle-même, et par définition, décidée, et dans l'espèce ci-dessous une retraite anticipée, à 57 ans (!), pose un problème qui peut finalement se régler facilement au fond.

Il suffit de lui octroyer une perte de chance de 5% de son total de "pertes", car même mis en garde cette personne aurait fait son ou ses prêts.

Il n'y a aucune raison que, non content de profiter d'un système avantageux de retraite, dont la majorité des citoyens ne pourront pas bénéficier, il serait honteux que le client fasse payer un partie de ses prêts aux salariés de la banque, aux autres clients de la banque ou même aux associés (actionnaires ou sociétaires) de la banque.

Tout cela sauf situation humaine et personnelle exceptionnelle.

Problème réglé !


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