Note du 7 déc. 2012, rééditée le 14 janvier 2012 après la perte du Triple A.
La France a été dégradée par l'agence de notation américaine , en tout début décembre 2011; Egan-Jones il y a quelques jours, avant le énième hésitation des chefs d'Etat, hier, qui amène, les perspectives de croissance économique diminuant, à voir l'essentiel des pays européens a être placés sous surveillance négative par Standard and Poor's.
La crise peut s'arrêter si les dirigeants ont le courage de dire que les Etats payeront leurs dettes et qu'ils font les prélèvements démoniaques qu'il y a à faire pour rétablir la confiance. Il n'y a aucune contagion, le mal ne passe pas d'un pays à un autre, il est dans chaque pays ! Et il tient à la même cause de dirigeants politiques professionnels qui promettent pour se faire réélire.
La agences de notation ne sont que le reflet d'une réalité masquée aux populations, sauf dans quelques pays. Leurs quelques erreurs techniques ne remettent pas en cause une méthodologie globalement acceptée et que personne ne saurait d'un coup d'un seul modifier. On ne peut d'ailleurs pas s'accrocher au triple A en critiquant les agences : c'est contradictoire.
Quant à interdire les notes données aux Etats : quelle invraisemblance ! Cette interdiction conduirait à une prolifération de notes de diverses entreprises qui, libre, pour se faire connaître, noterait les Etats au nom de la liberté d'expression... en utilisant l'internet. Non c'est vraiment fini de faire des dettes en sollicitant le marché international euro-obligataire sans limite. Le fonds de pension des agriculteurs australiens ne se fera pas avoir en prêtant de l'argent à la France s'il pense que cet argent peut ne pas lui être remboursé. le fond est, lui, responsable et il souhaite pouvoir payer les retraites dont il est débiteur...
Payons pour éviter la catastrophe !
Sinon ce sera la règle des 30 : 30 % de chômage en plus, 30 % de faillites en plus, 30 % de dévalorisation de l'euro soit 30 % de renchérissement de nos achats extérieurs, soit 30 % d'inflation sur quelques courtes années... et de toute façon ... 30 % d'impôts en plus.
Il est bien dommage que, au mois de septembre 2007, la France ne se soit pas engagée dans une politique de prélèvements nous mettant à l'abri du surendettement quand pourtant la crise financière était patente : la France baissait alors à tout-va les impôts !
Payer tout de suite cher, ou payer dans un ou deux ou dix ans très très cher... Pour ma part j'ai choisi, je préfère payer cher qu'être ruiné par la quasi-faillite du pays.
HC, Note du 7 décembre 2011.
La France a été dégradée par l'agence de notation américaine , en tout début décembre 2011; Egan-Jones il y a quelques jours, avant le énième hésitation des chefs d'Etat, hier, qui amène, les perspectives de croissance économique diminuant, à voir l'essentiel des pays européens a être placés sous surveillance négative par Standard and Poor's.
La crise peut s'arrêter si les dirigeants ont le courage de dire que les Etats payeront leurs dettes et qu'ils font les prélèvements démoniaques qu'il y a à faire pour rétablir la confiance. Il n'y a aucune contagion, le mal ne passe pas d'un pays à un autre, il est dans chaque pays ! Et il tient à la même cause de dirigeants politiques professionnels qui promettent pour se faire réélire.
La agences de notation ne sont que le reflet d'une réalité masquée aux populations, sauf dans quelques pays. Leurs quelques erreurs techniques ne remettent pas en cause une méthodologie globalement acceptée et que personne ne saurait d'un coup d'un seul modifier. On ne peut d'ailleurs pas s'accrocher au triple A en critiquant les agences : c'est contradictoire.
Quant à interdire les notes données aux Etats : quelle invraisemblance ! Cette interdiction conduirait à une prolifération de notes de diverses entreprises qui, libre, pour se faire connaître, noterait les Etats au nom de la liberté d'expression... en utilisant l'internet. Non c'est vraiment fini de faire des dettes en sollicitant le marché international euro-obligataire sans limite. Le fonds de pension des agriculteurs australiens ne se fera pas avoir en prêtant de l'argent à la France s'il pense que cet argent peut ne pas lui être remboursé. le fond est, lui, responsable et il souhaite pouvoir payer les retraites dont il est débiteur...
Payons pour éviter la catastrophe !
Sinon ce sera la règle des 30 : 30 % de chômage en plus, 30 % de faillites en plus, 30 % de dévalorisation de l'euro soit 30 % de renchérissement de nos achats extérieurs, soit 30 % d'inflation sur quelques courtes années... et de toute façon ... 30 % d'impôts en plus.
Il est bien dommage que, au mois de septembre 2007, la France ne se soit pas engagée dans une politique de prélèvements nous mettant à l'abri du surendettement quand pourtant la crise financière était patente : la France baissait alors à tout-va les impôts !
Payer tout de suite cher, ou payer dans un ou deux ou dix ans très très cher... Pour ma part j'ai choisi, je préfère payer cher qu'être ruiné par la quasi-faillite du pays.
HC, Note du 7 décembre 2011.