Après que les banques centrales ont déversé et continue de le faire des centaines de milliards (d'unités monétaires € $ £...) sans que personne n'y comprenne rien, la population est revancharde et les monnaies alternatives, locales ou virtuelles, peuvent attaquer les monnaies officielles. Les monnaies virtuelles s'appuient sur le caractère désormais immatériel de la monnaie ce qui fait que l'on perçoit mal le phénomène. Il est pourtant à étudier en urgence.
Mais l'annonce d'un journal, qui ne passe pas pour être "alternatif", révolutionnaire et dressé contre la monnaie actuelle et les autorités monétaires, ade quoi marquer. Le Figaro a annoncé qu'un citoyen a pu s'acheter un appartement grâce à des Bitcoins. Il se pourrait que l'annonce fasse réaliser les grandes incompréhensions qui existent sur la monnaie.
Ces Bitcoins accroissent ou confirment l'immatérialité de la monnaie, cette belle inconnue.
La monnaie matérielles sont quantitativement insignifiantes bien qu'elles gardent une grande utilité économique, pratique, psychologique...
La matérialité de la monnaie est un recoins dans lequel certains se réfugient à défaut de se projeter dans le futur et dans les problèmes réelle que les juristes, notamment eux, devront affronter dans les dix prochaines années.
Cela serait utiliser les conceptions de la physique du 17e siècle...
On a du reste vu à quoi mené les études sur la matérialité des titres et plus nettement encore la propension a étudier la forme des titres sans vouloir jamais étudier le negotium d'un titre, soit le contrat d'émission... cela aura notamment contribuer à empêcher qu'une théorie juridique du financement éclaire la finance d'entreprise et, on l'a vu avec la crise, les juristes ont été écartés des débats - débats sur lesquels ils reprennent la main avec la pluie de textes post-crise, ce qui est normal.... mais ils n'ont guère participé aux choix des concepts et mécanismes que les règles incorporent désormais.
Pour la monnaie, le caractère immatériel de la monnaie et son processus de création a été trop ignoré.
On peut encore soutenir avec gloire que la monnaie est ce que nous avons dans la poche, quand cela, même à ajouter la monnaie électronique (des cartes émises par le EME) aux espèces (la monnaie fiduciaire), n'est qu'une fade et mineure facette de la monnaie.
Il y a un effort d'intelligence juridique à faire, dans l'intérêt public, sur la compréhension de l'aspect immatériel de la monnaie ; on ne peut sinon guère en donner les frontières et la délimiter pour délimiter le pouvoir monétaire (expression de notre cuisine), ce que personne n'ose plus appeler le "pouvoir de battre monnaie" - puisque l'on ne voit plus dans l'analyse juridique actuelle ce qu'est la monnaie...
Alors l'intelligence galope du côté des initiatives privées et des ingénieurs, des électroniciens : ce que la machine peut faire on le fera et puis, après l'avoir implanté dans des lois, on s'apercevra des malfaçons !
On autorise implicitement les marchés financiers à faire des transactions à la milliseconde et puis, après une crise financière on se dit... qu'il faudrait y réfléchir. C'est juste l'inverse qu'il faudrait faire.
Tandis qu'on se demande seulement s'il faut augmenter les taux directeur des banques centrales de 25 points de base à partir de statistiques économiques qui ne relatent que partie de la vie économique, les milieux privés inventent de nouvelles monnaies : l'absence des Etats les amènera à regretter dans quelques années l'affaiblissement des Etats !
Mais l'annonce d'un journal, qui ne passe pas pour être "alternatif", révolutionnaire et dressé contre la monnaie actuelle et les autorités monétaires, ade quoi marquer. Le Figaro a annoncé qu'un citoyen a pu s'acheter un appartement grâce à des Bitcoins. Il se pourrait que l'annonce fasse réaliser les grandes incompréhensions qui existent sur la monnaie.
Ces Bitcoins accroissent ou confirment l'immatérialité de la monnaie, cette belle inconnue.
La monnaie matérielles sont quantitativement insignifiantes bien qu'elles gardent une grande utilité économique, pratique, psychologique...
La matérialité de la monnaie est un recoins dans lequel certains se réfugient à défaut de se projeter dans le futur et dans les problèmes réelle que les juristes, notamment eux, devront affronter dans les dix prochaines années.
Cela serait utiliser les conceptions de la physique du 17e siècle...
On a du reste vu à quoi mené les études sur la matérialité des titres et plus nettement encore la propension a étudier la forme des titres sans vouloir jamais étudier le negotium d'un titre, soit le contrat d'émission... cela aura notamment contribuer à empêcher qu'une théorie juridique du financement éclaire la finance d'entreprise et, on l'a vu avec la crise, les juristes ont été écartés des débats - débats sur lesquels ils reprennent la main avec la pluie de textes post-crise, ce qui est normal.... mais ils n'ont guère participé aux choix des concepts et mécanismes que les règles incorporent désormais.
Pour la monnaie, le caractère immatériel de la monnaie et son processus de création a été trop ignoré.
On peut encore soutenir avec gloire que la monnaie est ce que nous avons dans la poche, quand cela, même à ajouter la monnaie électronique (des cartes émises par le EME) aux espèces (la monnaie fiduciaire), n'est qu'une fade et mineure facette de la monnaie.
Il y a un effort d'intelligence juridique à faire, dans l'intérêt public, sur la compréhension de l'aspect immatériel de la monnaie ; on ne peut sinon guère en donner les frontières et la délimiter pour délimiter le pouvoir monétaire (expression de notre cuisine), ce que personne n'ose plus appeler le "pouvoir de battre monnaie" - puisque l'on ne voit plus dans l'analyse juridique actuelle ce qu'est la monnaie...
Alors l'intelligence galope du côté des initiatives privées et des ingénieurs, des électroniciens : ce que la machine peut faire on le fera et puis, après l'avoir implanté dans des lois, on s'apercevra des malfaçons !
On autorise implicitement les marchés financiers à faire des transactions à la milliseconde et puis, après une crise financière on se dit... qu'il faudrait y réfléchir. C'est juste l'inverse qu'il faudrait faire.
Tandis qu'on se demande seulement s'il faut augmenter les taux directeur des banques centrales de 25 points de base à partir de statistiques économiques qui ne relatent que partie de la vie économique, les milieux privés inventent de nouvelles monnaies : l'absence des Etats les amènera à regretter dans quelques années l'affaiblissement des Etats !
Du côté de la BCE on ne peut ignorer les monnaies alternatives qui sont une attaque de front du système monétaire actuel : alors en fait un rapport...
L'article publié par le Figaro
En France, on critique les classements internationaux des universités, et les classements internationaux des systèmes juridiques, et les classements internationaux financiers de notation, et les classements des systèmes juridiques : on pourrait davantage travailler sur les sujets du futur pour voir si cela n'a pas une influence sur ces classements - même s'ils sont d'obédience américaine et parfois discutables comme tous les classements.
Pour le sujet de la monnaie, on peut sinon attendre une théorie juridique américaine de la monnaie, cela fera tellement intelligent de traduire de l'anglais du droit américain ! Allez, je file à mon cours d'anglais...
L'article publié par le Figaro
En France, on critique les classements internationaux des universités, et les classements internationaux des systèmes juridiques, et les classements internationaux financiers de notation, et les classements des systèmes juridiques : on pourrait davantage travailler sur les sujets du futur pour voir si cela n'a pas une influence sur ces classements - même s'ils sont d'obédience américaine et parfois discutables comme tous les classements.
Pour le sujet de la monnaie, on peut sinon attendre une théorie juridique américaine de la monnaie, cela fera tellement intelligent de traduire de l'anglais du droit américain ! Allez, je file à mon cours d'anglais...
NB : je ne dis naturellement rien de ce que je pense de la monnaie dans le présent texte.