Le monde a mal à sa finance, fort mal définie et insaisissable. Les travaux de thèse peuvent aider à la fois à remettre en place des les idées de principe et les développements pratiques. Après une expérience de près de 20 ans de direction de thèse, je vois clairement ce qui peut être fait avec quel candidat.
J'entends accélérer les recherches que je mène depuis 30 ans en Droit des affaires (première publication dans le Juris-classeur commercial en 1987...).
Nombre d'employeurs ne savent pas qu'ils peuvent s'adjoindre d'excellents juristes à mi-temps, dans leurs services, jeunes juristes qui, sur l'autre mi-temps, font/écrivent une thèse - sur un sujet en connexion avec leurs missions professionnelles.
Divers thèmes de mes recherches, qui pourront être jugées trop en pointes et pragmatiques à l'Université, viennent à point nommé pour les entreprises et les institutions publiques. Ainsi, certains employeurs ou étudiants me sollicitent pour examiner les sujets doublement pertinents pour eux et pour le doctorant.
Je vais donc essayer de relever le défi. Pour réussir cette affaire de Droit des affaires, il faut un élan collectif de plusieurs recherches engagées en parallèles et qui s'enrichiront mutuellement. D'où ce premier billet. [Il signale donc à tous des perspectives importantes ]b sur des sujets à boucler en 3 ans, conformément à la réglementation, et qui vous permettront de rejoindre une entité de haut niveau pour assumer de véritables responsabilités.
La condition est évidemment de connaître les divers domaines que j'ai investis, mon ouvrage (Droit bancaire et financier) les retrace à travers divers développements et parfois thèses personnelles, il suffit de s'y reporter ; ce blog comporte également de nombreux éléments relatifs à la trentaine de thèmes majeurs que je m'attache à suivre. Le blog est ici un instrument de recherche - et le plus cinglant moyen de liberté d'expression des universitaires.
Les inscriptions en doctorat dans telle ou telle université peuvent être discutées selon le siège de l'employeur qui s'engage dans une CIFRE et selon les attaches du candidat : des codirections sont sans doute envisageables.
L'essentiel est le projet intellectuel et professionnel, non les aspects administratifs.
Le projet doit répondre précisément à diverses questions : quelle thèse et quelle voie professionnelle ? Quel sujet précis et quelle compétence professionnelle à terme ?
Dans la vingtaine de métiers / compétences professionnelles que j'ai identifiés, la plupart de ces voies ont été testées avec des compétences à niveau M2 - mais certaines n'ont jamais été explorées (par exemple le secteur du back office). Les domaines possibles sont larges et féconds.
Une dizaine de thèmes sont soumis à des bouleversement réglementaires. Les entreprises et institutions ont besoin de revoir leur logiciel (comme l'on dit) et les doctorants peuvent les aider à cela. Souvent sur fond d'informatique et de numérique.
Les besoins sont grands, l'étudiant sera réellement dirigé, conduit à remettre son travail mensuel et savoir suivre les directions sans seulement les emprunter mais en faisant ses apports. Dans le même temps, il sera examiné les difficultés qu'il peut avoir dans ses actes professionnels (compréhension, rédaction, stratégies, décisions...) de façon à lui donner un sens pratique du droit qui fait cruellement défaut à la plupart des doctorants.
J'attends donc les propositions de CIFRE qui vous aideront... D'ici quelques jours je mettrai des sujets en ligne.
J'entends accélérer les recherches que je mène depuis 30 ans en Droit des affaires (première publication dans le Juris-classeur commercial en 1987...).
Nombre d'employeurs ne savent pas qu'ils peuvent s'adjoindre d'excellents juristes à mi-temps, dans leurs services, jeunes juristes qui, sur l'autre mi-temps, font/écrivent une thèse - sur un sujet en connexion avec leurs missions professionnelles.
Divers thèmes de mes recherches, qui pourront être jugées trop en pointes et pragmatiques à l'Université, viennent à point nommé pour les entreprises et les institutions publiques. Ainsi, certains employeurs ou étudiants me sollicitent pour examiner les sujets doublement pertinents pour eux et pour le doctorant.
Je vais donc essayer de relever le défi. Pour réussir cette affaire de Droit des affaires, il faut un élan collectif de plusieurs recherches engagées en parallèles et qui s'enrichiront mutuellement. D'où ce premier billet. [Il signale donc à tous des perspectives importantes ]b sur des sujets à boucler en 3 ans, conformément à la réglementation, et qui vous permettront de rejoindre une entité de haut niveau pour assumer de véritables responsabilités.
La condition est évidemment de connaître les divers domaines que j'ai investis, mon ouvrage (Droit bancaire et financier) les retrace à travers divers développements et parfois thèses personnelles, il suffit de s'y reporter ; ce blog comporte également de nombreux éléments relatifs à la trentaine de thèmes majeurs que je m'attache à suivre. Le blog est ici un instrument de recherche - et le plus cinglant moyen de liberté d'expression des universitaires.
Les inscriptions en doctorat dans telle ou telle université peuvent être discutées selon le siège de l'employeur qui s'engage dans une CIFRE et selon les attaches du candidat : des codirections sont sans doute envisageables.
L'essentiel est le projet intellectuel et professionnel, non les aspects administratifs.
Le projet doit répondre précisément à diverses questions : quelle thèse et quelle voie professionnelle ? Quel sujet précis et quelle compétence professionnelle à terme ?
Dans la vingtaine de métiers / compétences professionnelles que j'ai identifiés, la plupart de ces voies ont été testées avec des compétences à niveau M2 - mais certaines n'ont jamais été explorées (par exemple le secteur du back office). Les domaines possibles sont larges et féconds.
Une dizaine de thèmes sont soumis à des bouleversement réglementaires. Les entreprises et institutions ont besoin de revoir leur logiciel (comme l'on dit) et les doctorants peuvent les aider à cela. Souvent sur fond d'informatique et de numérique.
Les besoins sont grands, l'étudiant sera réellement dirigé, conduit à remettre son travail mensuel et savoir suivre les directions sans seulement les emprunter mais en faisant ses apports. Dans le même temps, il sera examiné les difficultés qu'il peut avoir dans ses actes professionnels (compréhension, rédaction, stratégies, décisions...) de façon à lui donner un sens pratique du droit qui fait cruellement défaut à la plupart des doctorants.
J'attends donc les propositions de CIFRE qui vous aideront... D'ici quelques jours je mettrai des sujets en ligne.