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Enquête sur les banques, mais pas sur leurs services ?
Les banques sont une cible facile. S'attaquer à qui est riche a toujours un bon succès en France. Et puis sur des millions de dossiers, il y en a toujours quelques dizaines qui sont ahurissants et que la presse dénonce ; c'est sinon la règle du jeu au moins un fonctionnement attendu de la presse et de la démocratie de surface.
Sur des sommes astronomiques maniées, il y a toujours un scandale qui couve, c'est sinon la règle du jeu un fait social et économique. Avec sa passion pour son porte-monnaie, le Français, dans un pays où on travaille pour un revenu modeste, ou pour des aides plus modestes mais sans travail, les banques sont surveillées pour leurs tarifs.
C'est un peu convenu, mais ça peut faire jouer la concurrence et profiter à des milliers de consommateurs. Les numéros de revues sur les tarifs bancaires sont un peu populistes mais gardent leur utilité.
Ici même, sur ce blog #directdroit, on souligne les cas des responsabilité des établissements, responsabilité toutefois plus souvent poursuivie que finalement engagée. Les fautes et travers existent. Le professionnel arrive parfois à même se faire condamner pour préjudice moral (tout le monde ne lit pas #directdroit...)
Cependant, à évaluer ces entreprises, vues comme des institutions plus que comme des entreprises (...), on peut le faire sans considérer réellement la qualité de leurs services. Voyez l'image. Du reste quelles entreprises ? Pourquoi ne pas comparer les banques pour les crédits et tous les PSP pour les services de paiement ? Sans parler des "néobanques" ce qui en général ne veut rien dire... A un moment donné il faut admettre que la loi structure le marché économique ou le détermine ou influence.
Les temps changent certes et la déforestation est certes importante, mais les banques sont-elles le point clé d'une politique environnementale ? Et justement sur ce point ?
On sait que certains le pensent, mais pour adopter un système financier différent il faut bien plus que des actions internes à une entreprise opérant dans le système actuel, cela exige de la norme dure européenne, si le contexte mondial le permet...
En vérité, ce qui importe au consommateur ou devrait lui importer, une enquête peut éduquer... ce doit être :
- que sa banque soit solide et qu'elle ne risque pas de fermer un jour ses guichets en vous privant de vos actifs financiers... ;
- que sa banque "marche bien" en pouvant exécuter ses ordres, bien l'informer, parfois lui faire crédit, l'orienter dans le monde de la finance...
Or l'enquête de ce fameux et réputé titre, 60 millions de consommateurs, voit les choses autrement. Curieux. Votre médecin a-t-il un bon standard téléphonique ? Son chauffage est-il écologique ? Ses relations sociales et commerciales sont-elles éthiques ? Je n'ose pas imaginer une enquête sur les médecins qui ne dirait pas si ces professionnels savent vous soigner.
On s'éloigne beaucoup des choses simples et nécessaires.
Sur des sommes astronomiques maniées, il y a toujours un scandale qui couve, c'est sinon la règle du jeu un fait social et économique. Avec sa passion pour son porte-monnaie, le Français, dans un pays où on travaille pour un revenu modeste, ou pour des aides plus modestes mais sans travail, les banques sont surveillées pour leurs tarifs.
C'est un peu convenu, mais ça peut faire jouer la concurrence et profiter à des milliers de consommateurs. Les numéros de revues sur les tarifs bancaires sont un peu populistes mais gardent leur utilité.
Ici même, sur ce blog #directdroit, on souligne les cas des responsabilité des établissements, responsabilité toutefois plus souvent poursuivie que finalement engagée. Les fautes et travers existent. Le professionnel arrive parfois à même se faire condamner pour préjudice moral (tout le monde ne lit pas #directdroit...)
Cependant, à évaluer ces entreprises, vues comme des institutions plus que comme des entreprises (...), on peut le faire sans considérer réellement la qualité de leurs services. Voyez l'image. Du reste quelles entreprises ? Pourquoi ne pas comparer les banques pour les crédits et tous les PSP pour les services de paiement ? Sans parler des "néobanques" ce qui en général ne veut rien dire... A un moment donné il faut admettre que la loi structure le marché économique ou le détermine ou influence.
Les temps changent certes et la déforestation est certes importante, mais les banques sont-elles le point clé d'une politique environnementale ? Et justement sur ce point ?
On sait que certains le pensent, mais pour adopter un système financier différent il faut bien plus que des actions internes à une entreprise opérant dans le système actuel, cela exige de la norme dure européenne, si le contexte mondial le permet...
En vérité, ce qui importe au consommateur ou devrait lui importer, une enquête peut éduquer... ce doit être :
- que sa banque soit solide et qu'elle ne risque pas de fermer un jour ses guichets en vous privant de vos actifs financiers... ;
- que sa banque "marche bien" en pouvant exécuter ses ordres, bien l'informer, parfois lui faire crédit, l'orienter dans le monde de la finance...
Or l'enquête de ce fameux et réputé titre, 60 millions de consommateurs, voit les choses autrement. Curieux. Votre médecin a-t-il un bon standard téléphonique ? Son chauffage est-il écologique ? Ses relations sociales et commerciales sont-elles éthiques ? Je n'ose pas imaginer une enquête sur les médecins qui ne dirait pas si ces professionnels savent vous soigner.
On s'éloigne beaucoup des choses simples et nécessaires.
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Le règlement (UE) DORA qui vise la résilience des "entités financières" entre bientôt en vigueur démontrant ce que sont les banques : des infrastructures informatiques.
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