Des notes !
Des ondes ont fait croiser au loin
Quelques paroles qui rendent fou
Et enfermées en nous avec soin
Pour oublier de leur tordre le cou
Un matin bleu j’entendis ta voix
Lointaine et tantôt si connue
Qui à nouveau frappait en moi
Au son de tes mots accourus
Ils avaient l’élan cru de la force
D’antan quand à voix pleine
Tes yeux savaient décoller l’écorce
Qui pinçait au cœur pour la reine
La pureté nette de ces mélodies
Saisit en moi des espaces de charme
Restés vierges voire inédits
Des coups fermes de tes armes
L’inquiétude de ce flux magique
Intonations trop hautes et légères
Lancinait la folle indolente tactique
De toutes tes années cavalières
D’un bateau soi-disant vert et blanc
A traîner sur les trottoirs de ta vie
Jusqu’aux « sans nom » pris pour amants
Chantent toutes tes envies et avis
Vivre avec toi aux replis de tes âmes
Vives, changeantes et bouleversantes
Vivre la femme voire encore la dame
Vive l’enfant déjà l’adolescente !
J’étais en toi quand par tes cordes
De notes en mots tu composais
Passions, visions et miséricorde.
Tous vinrent en moi cette fois reposer.
Des ondes ont fait croiser au loin
Quelques paroles qui rendent fou
Et enfermées en nous avec soin
Pour oublier de leur tordre le cou
Un matin bleu j’entendis ta voix
Lointaine et tantôt si connue
Qui à nouveau frappait en moi
Au son de tes mots accourus
Ils avaient l’élan cru de la force
D’antan quand à voix pleine
Tes yeux savaient décoller l’écorce
Qui pinçait au cœur pour la reine
La pureté nette de ces mélodies
Saisit en moi des espaces de charme
Restés vierges voire inédits
Des coups fermes de tes armes
L’inquiétude de ce flux magique
Intonations trop hautes et légères
Lancinait la folle indolente tactique
De toutes tes années cavalières
D’un bateau soi-disant vert et blanc
A traîner sur les trottoirs de ta vie
Jusqu’aux « sans nom » pris pour amants
Chantent toutes tes envies et avis
Vivre avec toi aux replis de tes âmes
Vives, changeantes et bouleversantes
Vivre la femme voire encore la dame
Vive l’enfant déjà l’adolescente !
J’étais en toi quand par tes cordes
De notes en mots tu composais
Passions, visions et miséricorde.
Tous vinrent en moi cette fois reposer.