Le Master Droit des Affaires et de la Banque est l'héritier du fameux DEA de Droit des Affaires que dirigea le Doyen Jean Stoufflet pendant fort longtemps et qui a donné de nombreux professionnels de droit des affaires de haut niveau, docteurs et universitaires. Il joue aujourd'hui à front renversé : sa partie "recherche" est une mineure et sa partie professionnelle est une majeure, suivant en cela un mode une tendance (quand plus aucun étudiant ne saura écrire dix pages dactylographiées ordonnées, claires et précises, des esprits éclairés réclameront un plan ministériel pour promouvoir l'exercice de la rédaction d'un mémoire...).
La plupart des étudiants suivent un stage et trouvent un emploi dans divers secteurs, ce qui est assez étonnant.
Il faut dire que leur formation de droit des affaires est à 110 % !!! Ce qui signifie qu'elle comporte les outils utiles à l'exercice des métiers du droit des affaires (contrats, sociétés, fiscalité...) et l'amorce des matières spécialisées (bancaire et financier, analyse financière, commerce électronique...). Le master ouvre ainsi sur tous les métiers du droit de l'entreprise et de la fiscalité, voire de la fiscalité bancaire qui est un domaine où les compétences sont recherchées (mais sur Paris, c'est une spécialité).
Mais le plus remarquable est le large éventail d'offres d'emploi vers lesquelles les étudiants peuvent se tourner . En effet, par nature la question de l'argent, la question financière, la question du financement, est le carrefour de toutes les pratiques du droit des affaires et de l'entreprise et des autres entités, ; la banque est notamment l'un des lieux de cessions et restructurations d'entreprises ou opérations d'investissement. Loin d'être un enfermement, l'angle financier permet en réalité de s'affirmer dans divers domaines et en visant les entités les plus solides.
Les étudiants peuvent ainsi s'orienter dans trois secteurs : le secteur du droit des affaires général, celui du secteur financier (assurance, banque, mutuelle, société d'investissement, service financier des grandes entreprises, collectivités publiques). Les recherches de l'équipe pédagogique permettent aux étudiants de s'intéresser aux problèmes actuels du monde de l'entreprise et d'être, pour un employeur, non pas un stagiaire durant de longs mois mais, déjà, un porteur d'idées et techniques nouvelles.
Notamment en suivant de façon complémentaire un DU de fiscalité qu'un collègue dévoué, M. PASTURAL, organise au mieux ; les étudiants peuvent s'orienter vers le droit fiscal bancaire et financier. Loin de cela, certains étudiants, forts de leurs connaissances, choisissent des métiers commerciaux : les équipes commerciales sont ainsi renforcées de juristes spécialisées ! Ce peut être une façon d'entamer une carrière, quitte à revenir, ou pas, au "pur" droit plus tard.
Après quatre années de fonctionnement sous cette forme, le recrutement du Master 2 permet d'accueillir des étudiants impliqués et sérieux, et solidaires. Je me charge directement de veiller à ce que l'ambiance soit au travail, à l'ambition sans laisser se développer les excès de prétention qui donnent un mauvaise ambiance. Les problèmes traités partent en effet de la cession de parts de SARL pour aboutir aux plus grandes opérations financières et l'excès des étudiants qui se prennent déjà pour des professionnels n'est pas souhaité, quand ce sont souvent les mêmes qui ne sont pas fichus d'écrire un commentaire d'arrêt... avec deux idées intéressantes.
Je me charge, parfois hors cours, d'initier les étudiants à la rédaction de divers actes juridiques (conventions, contrats, déclarations, prospectus, assignations, conclusions...). Je fais ainsi le lien entre les académismes (du style plan en deux parties dont on voit souvent mal l'utilité) et la pratique des actes juridiques. Je coache directement ce master en réclamant un implication qui ne se confonde pas avec l'agitation.
La formation reste un moyen de faire de la recherche (écrire un mémoire sur un sujet inédit ou à revisiter), ce qui prépare en vérité à la rédactions des actes juridiques et judiciaires de haut niveau (les contrats lourds de plusieurs dizaines de pages, les conclusions très substantielles des affaires complexes, les consultations juridiques approfondies où le client souhaite une analyse référencée à chaque ligne, les notes juridiques d'entreprises sur des questions stratégiques). Ceux qui veulent "surperformer" (charabia bancaire et financier) le côté master pro peuvent passer à l'étape au-dessus : rédiger un mémoire. Ils y seront préparés par un cours spécial en début d'année et disposent de 10 mois pour réaliser ce travail.
De nombreux étudiants viennent d'Universités parfois éloignées de Clermont qui est pourtant... le centre de la France. Je souhaite que cela continue et à nouveau parvenir à mixer des personnalités variées et de régions différentes.
MASTER « DROIT DES AFFAIRES ET DROIT DE LA BANQUE » 60 ECTS
1er semestre 30 ECTS
UE 3A Acteurs de la vie des affaires 8
Droit approfondi des sociétés commerciales (25 h) 4
Séminaire Droit approfondi des sociétés commerciales (25h) 4
UE 3B Financement des entreprises 8
Droit approfondi des garanties de paiement (25h) 4
Droit du financement (25h) 4
UE 3C Droit des affaires 8
Droit et techniques de distribution (25h) 4
Séminaire Droit et techniques de distribution (25h) 4
UE 3D Recherche et vie professionnelle 6
Stage (4 semaines) et rapport de stage 6
ou bien
Séminaire de recherches juridiques et écriture des textes juridiques et Mémoire 6
2nd semestre 30 ECTS
UE 4A Banques et risques 8
Responsabilité et obligations des banquiers (25h) 4
Banques et entreprises en difficultés (25h) 4
UE 4B Entreprises financières et bourse 8
Droit financier et boursier (25h) 4
Droit des services d'investissement (25h) 4
UE 4C Relations contractuelles spéciales 8
Droit du commerce électronique et de l'Internet (25h) 4
Droit de la consommation et des activités bancaires (25h) 4
UE 4D Pratiques professionnelles 6
Séminaire de droit de la gestion du patrimoine privé (25h) 3
Séminaire de fiscalité des opérations bancaires (25h) 3
Compléments au diplôme :
Enseignement d’Anglais juridique – certification de compétences, préparation CLES, TOEIC
Enseignements de droit américain : U.S. Criminal Procedure (au S3), U.S. Property (au S4) *
C2i niveau 2, certification de compétences, enseignement
Fiscalité directe (25 h), certification de compétences
Séminaire Analyse financière (25 h), certification de compétences
La plupart des étudiants suivent un stage et trouvent un emploi dans divers secteurs, ce qui est assez étonnant.
Il faut dire que leur formation de droit des affaires est à 110 % !!! Ce qui signifie qu'elle comporte les outils utiles à l'exercice des métiers du droit des affaires (contrats, sociétés, fiscalité...) et l'amorce des matières spécialisées (bancaire et financier, analyse financière, commerce électronique...). Le master ouvre ainsi sur tous les métiers du droit de l'entreprise et de la fiscalité, voire de la fiscalité bancaire qui est un domaine où les compétences sont recherchées (mais sur Paris, c'est une spécialité).
Mais le plus remarquable est le large éventail d'offres d'emploi vers lesquelles les étudiants peuvent se tourner . En effet, par nature la question de l'argent, la question financière, la question du financement, est le carrefour de toutes les pratiques du droit des affaires et de l'entreprise et des autres entités, ; la banque est notamment l'un des lieux de cessions et restructurations d'entreprises ou opérations d'investissement. Loin d'être un enfermement, l'angle financier permet en réalité de s'affirmer dans divers domaines et en visant les entités les plus solides.
Les étudiants peuvent ainsi s'orienter dans trois secteurs : le secteur du droit des affaires général, celui du secteur financier (assurance, banque, mutuelle, société d'investissement, service financier des grandes entreprises, collectivités publiques). Les recherches de l'équipe pédagogique permettent aux étudiants de s'intéresser aux problèmes actuels du monde de l'entreprise et d'être, pour un employeur, non pas un stagiaire durant de longs mois mais, déjà, un porteur d'idées et techniques nouvelles.
Notamment en suivant de façon complémentaire un DU de fiscalité qu'un collègue dévoué, M. PASTURAL, organise au mieux ; les étudiants peuvent s'orienter vers le droit fiscal bancaire et financier. Loin de cela, certains étudiants, forts de leurs connaissances, choisissent des métiers commerciaux : les équipes commerciales sont ainsi renforcées de juristes spécialisées ! Ce peut être une façon d'entamer une carrière, quitte à revenir, ou pas, au "pur" droit plus tard.
Après quatre années de fonctionnement sous cette forme, le recrutement du Master 2 permet d'accueillir des étudiants impliqués et sérieux, et solidaires. Je me charge directement de veiller à ce que l'ambiance soit au travail, à l'ambition sans laisser se développer les excès de prétention qui donnent un mauvaise ambiance. Les problèmes traités partent en effet de la cession de parts de SARL pour aboutir aux plus grandes opérations financières et l'excès des étudiants qui se prennent déjà pour des professionnels n'est pas souhaité, quand ce sont souvent les mêmes qui ne sont pas fichus d'écrire un commentaire d'arrêt... avec deux idées intéressantes.
Je me charge, parfois hors cours, d'initier les étudiants à la rédaction de divers actes juridiques (conventions, contrats, déclarations, prospectus, assignations, conclusions...). Je fais ainsi le lien entre les académismes (du style plan en deux parties dont on voit souvent mal l'utilité) et la pratique des actes juridiques. Je coache directement ce master en réclamant un implication qui ne se confonde pas avec l'agitation.
La formation reste un moyen de faire de la recherche (écrire un mémoire sur un sujet inédit ou à revisiter), ce qui prépare en vérité à la rédactions des actes juridiques et judiciaires de haut niveau (les contrats lourds de plusieurs dizaines de pages, les conclusions très substantielles des affaires complexes, les consultations juridiques approfondies où le client souhaite une analyse référencée à chaque ligne, les notes juridiques d'entreprises sur des questions stratégiques). Ceux qui veulent "surperformer" (charabia bancaire et financier) le côté master pro peuvent passer à l'étape au-dessus : rédiger un mémoire. Ils y seront préparés par un cours spécial en début d'année et disposent de 10 mois pour réaliser ce travail.
De nombreux étudiants viennent d'Universités parfois éloignées de Clermont qui est pourtant... le centre de la France. Je souhaite que cela continue et à nouveau parvenir à mixer des personnalités variées et de régions différentes.
MASTER « DROIT DES AFFAIRES ET DROIT DE LA BANQUE » 60 ECTS
1er semestre 30 ECTS
UE 3A Acteurs de la vie des affaires 8
Droit approfondi des sociétés commerciales (25 h) 4
Séminaire Droit approfondi des sociétés commerciales (25h) 4
UE 3B Financement des entreprises 8
Droit approfondi des garanties de paiement (25h) 4
Droit du financement (25h) 4
UE 3C Droit des affaires 8
Droit et techniques de distribution (25h) 4
Séminaire Droit et techniques de distribution (25h) 4
UE 3D Recherche et vie professionnelle 6
Stage (4 semaines) et rapport de stage 6
ou bien
Séminaire de recherches juridiques et écriture des textes juridiques et Mémoire 6
2nd semestre 30 ECTS
UE 4A Banques et risques 8
Responsabilité et obligations des banquiers (25h) 4
Banques et entreprises en difficultés (25h) 4
UE 4B Entreprises financières et bourse 8
Droit financier et boursier (25h) 4
Droit des services d'investissement (25h) 4
UE 4C Relations contractuelles spéciales 8
Droit du commerce électronique et de l'Internet (25h) 4
Droit de la consommation et des activités bancaires (25h) 4
UE 4D Pratiques professionnelles 6
Séminaire de droit de la gestion du patrimoine privé (25h) 3
Séminaire de fiscalité des opérations bancaires (25h) 3
Compléments au diplôme :
Enseignement d’Anglais juridique – certification de compétences, préparation CLES, TOEIC
Enseignements de droit américain : U.S. Criminal Procedure (au S3), U.S. Property (au S4) *
C2i niveau 2, certification de compétences, enseignement
Fiscalité directe (25 h), certification de compétences
Séminaire Analyse financière (25 h), certification de compétences